Abidjan - Les étudiants de l’université Félix Houphouët-Boigny, ont exprimé ,mardi, à Abidjan, leur ras-le-bol suite aux violences dont ils ont été victimes vendredi au sein de leur institution et au quai de bus appelant à l’ouverture d’une enquête afin de situer les responsabilités pour ne plus revivre ce triste évènement.
"Qui, d’une part, porte atteinte à l’engagement personnel de la présidente de l’université et celui de l’équipe dirigeante de construire une université innovante et citoyenne et d’autre part, fait ressurgir en nous ce fort relent du passé funeste et lugubre des universités", a précisé le président du conseil national des délégués de l’université Félix Houphouet Boigny, Koné Lamine N’Golo Dyo Soro, lors d’un point de presse.
Le vendredi 20 mars, un affrontement entre des étudiants se réclamant de syndicats, les uns de la fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI) et les autres de l’association générale des élèves et étudiants de Côte d’Ivoire (AGEECI) a entraîné la perturbation des cours sur toute l’université et même la fermeture de certaines facultés et services de l’université, note-t-on.
sdaf/akn/kam
"Qui, d’une part, porte atteinte à l’engagement personnel de la présidente de l’université et celui de l’équipe dirigeante de construire une université innovante et citoyenne et d’autre part, fait ressurgir en nous ce fort relent du passé funeste et lugubre des universités", a précisé le président du conseil national des délégués de l’université Félix Houphouet Boigny, Koné Lamine N’Golo Dyo Soro, lors d’un point de presse.
Le vendredi 20 mars, un affrontement entre des étudiants se réclamant de syndicats, les uns de la fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI) et les autres de l’association générale des élèves et étudiants de Côte d’Ivoire (AGEECI) a entraîné la perturbation des cours sur toute l’université et même la fermeture de certaines facultés et services de l’université, note-t-on.
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