«La Cei, en procédant à une relecture du code électoral, ainsi que de tous les textes ayant servi aux élections de sortie de crise, a mis un accent particulier sur la clarification des dispositions dont l’application a donné lieu à polémiques. Ainsi, les procédures de proclamation des résultats et de règlement des contentieux éventuels devant les juridictions électorales ont-elles été mieux élucidées pour en permettre la même compréhension par tous». Par ces propos, le président de la Commission électorale indépendante (Cei), Youssouf Bakayoko, a indiqué, hier, que la structure en charge de l’organisation des élections a pris des dispositions pour éviter que ne se reproduisent les situations malencontreuses de 2010 qui ont provoqué la crise qui a mis le pays à feu et à sang. Il est intervenu ainsi à l’occasion du séminaire sur «la prévention et la gestion des conflits électoraux» organisé, en collaboration le Wanep, à l’hôtel La Playa de Grand-Bassam.
Le président de la Cei a soutenu, au regard des différentes expériences, que les élections en Afrique sont source de tensions. Aussi la Cei, consciente de cet état de fait, ne ménage-t-elle aucun effort pour prévenir tout conflit qui pourrait subvenir et menacer la paix. «En acceptant de s’associer à toute initiative visant à élever les barrières favorables à la préservation de la paix autour des élections, notre institution ne ménage aucun effort pour permettre à ses acteurs de réfléchir à tout moyen susceptible de prévenir ou, à tout le moins, de gérer les conflits autour des élections», a-t-il affirmé.
Le président Bakayoko a souligné qu’en temps opportun, dans le souci de l’organisation d’élections apaisées, le Cei initiera des campagnes de sensibilisation à l’attention des acteurs politiques et des populations. Il a dit ses gros espoirs par rapport aux travaux.
Mme Addé Mensah, représentante de Wanep, a, pour sa part, réaffirmé la volonté de son organisation de contribuer «la pacification» des élections en Afrique.
César ébrokié
Le président de la Cei a soutenu, au regard des différentes expériences, que les élections en Afrique sont source de tensions. Aussi la Cei, consciente de cet état de fait, ne ménage-t-elle aucun effort pour prévenir tout conflit qui pourrait subvenir et menacer la paix. «En acceptant de s’associer à toute initiative visant à élever les barrières favorables à la préservation de la paix autour des élections, notre institution ne ménage aucun effort pour permettre à ses acteurs de réfléchir à tout moyen susceptible de prévenir ou, à tout le moins, de gérer les conflits autour des élections», a-t-il affirmé.
Le président Bakayoko a souligné qu’en temps opportun, dans le souci de l’organisation d’élections apaisées, le Cei initiera des campagnes de sensibilisation à l’attention des acteurs politiques et des populations. Il a dit ses gros espoirs par rapport aux travaux.
Mme Addé Mensah, représentante de Wanep, a, pour sa part, réaffirmé la volonté de son organisation de contribuer «la pacification» des élections en Afrique.
César ébrokié