Daloa - Le directeur de l’Autorité pour le désarmement, la démobilisation et la réinsertion (ADDR), Fidèle Sarassoro, a appelé vendredi les ex-combattants non encore réintégrés, environ 24.000, à entrer dans le processus DDR avant fin juin 2015, au risque d’être forclos.
Fidèle Sarassoro souhaite une plus forte implication des autorités préfectorales, des chefs traditionnels, religieux, des leaders d’opinion, afin de booster le processus DDR qui prend fin le 30 juin 2015.
Sur un effectif de 74.000 ex-combattants, l’ADDR a pu réinsérer près de 50.000, soit 68%, selon le directeur de l’ADDR, indiquant qu’après juin 2015, tous ceux qui vont détenir des armes de façon illégale ne pourront plus bénéficier de la couverture de ce processus qui est volontaire.
L'ADDR, a-t-il insisté, est là pour les aider à désarmer et à se réinsérer dans le tissu socioéconomique, avec l’appui des partenaires que sont l’ONUCI, (l'opération des Nations unies en Côte d'Ivoire), le PNUD, (le programme des Nations unies pour le développement), l’UE (l'Union Européenne) et des partenaires bilatéraux dont le Japon.
Fidèle Sarassoro a donc invité tous les ex-combattants encore hésitants, à déposer leurs armes, afin de bénéficier des opportunités crédibles et viables pour refaire leur vie et s’intégrer durablement dans la vie.
Le directeur de l’ADDR était à Daloa dans le cadre d’une campagne nationale de sensibilisation des ex-combattants en vue d’accélérer le processus de désarmement, démobilisation et réintégration (DDR). Il a signé des conventions avec des ONG dans l’optique d’une contribution à cette campagne lancée le 11 février dernier à Anyama par le ministre de l'Intérieur et de la Sécurité, Hamed Bakayoko.
yy/ask
Fidèle Sarassoro souhaite une plus forte implication des autorités préfectorales, des chefs traditionnels, religieux, des leaders d’opinion, afin de booster le processus DDR qui prend fin le 30 juin 2015.
Sur un effectif de 74.000 ex-combattants, l’ADDR a pu réinsérer près de 50.000, soit 68%, selon le directeur de l’ADDR, indiquant qu’après juin 2015, tous ceux qui vont détenir des armes de façon illégale ne pourront plus bénéficier de la couverture de ce processus qui est volontaire.
L'ADDR, a-t-il insisté, est là pour les aider à désarmer et à se réinsérer dans le tissu socioéconomique, avec l’appui des partenaires que sont l’ONUCI, (l'opération des Nations unies en Côte d'Ivoire), le PNUD, (le programme des Nations unies pour le développement), l’UE (l'Union Européenne) et des partenaires bilatéraux dont le Japon.
Fidèle Sarassoro a donc invité tous les ex-combattants encore hésitants, à déposer leurs armes, afin de bénéficier des opportunités crédibles et viables pour refaire leur vie et s’intégrer durablement dans la vie.
Le directeur de l’ADDR était à Daloa dans le cadre d’une campagne nationale de sensibilisation des ex-combattants en vue d’accélérer le processus de désarmement, démobilisation et réintégration (DDR). Il a signé des conventions avec des ONG dans l’optique d’une contribution à cette campagne lancée le 11 février dernier à Anyama par le ministre de l'Intérieur et de la Sécurité, Hamed Bakayoko.
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