Le service d’assistance en escale de l’aéroport Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan, a été délégué depuis le 16 janvier dernier, à la National aviation service (NAS), un groupe koweïtien ayant une expertise et une expérience dites avérées dans le domaine. Les raisons de cette dénationalisation ont été dévoilées par le ministre des Transports, le 24 mars dernier au Golf hôtel, lors de la cérémonie de présentation du nouvel acquéreur.
A en croire le ministre des Transports, Gaoussou Touré, cette privatisation répond à l’ambition du gouvernement de faire de cette plateforme le hub aérien de la côte ouest africaine. « Dans un 1er temps, il fallait avoir une compagnie aérienne nationale forte. C’est pourquoi nous avons mis en place la compagnie nationale Air-Côte d’Ivoire. Nous sommes à la deuxième phase de notre projet qui est l’assistance en escale. La privatisation était nécessaire pour que les avions en escale chez-nous, soient accueillis dans les normes de confort et de sécurité », a-t-il indiqué. A en croire le ministre, l’opérateur a été sélectionné sur la base de ses références internationales et de ses engagements envers l’Etat ivoirien. A savoir « la reprise de tout le personnel de la régie avec les droits acquis, le paiement à l’Etat de 8 milliards de francs Cfa de droit d’entrée à l’Etat de Côte d’Ivoire, le versement de 13% du chiffre d’affaires annuel à l’Etat et l’acquisition du matériel pour l’exploitation d’environ 12 milliards de francs Cfa. Cela donne un investissement global de 20 milliards de francs Cfa à cette convention signée pour une durée de 10 ans ». Selon lui, les améliorations attendues par la privatisation du service d’assistance en escale, devront contribuer à l’obtention des certifications que sont de la Safety audit for grounds opérations (ISAGO) et le Transport security administration (TSA).
DJè Abel
A en croire le ministre des Transports, Gaoussou Touré, cette privatisation répond à l’ambition du gouvernement de faire de cette plateforme le hub aérien de la côte ouest africaine. « Dans un 1er temps, il fallait avoir une compagnie aérienne nationale forte. C’est pourquoi nous avons mis en place la compagnie nationale Air-Côte d’Ivoire. Nous sommes à la deuxième phase de notre projet qui est l’assistance en escale. La privatisation était nécessaire pour que les avions en escale chez-nous, soient accueillis dans les normes de confort et de sécurité », a-t-il indiqué. A en croire le ministre, l’opérateur a été sélectionné sur la base de ses références internationales et de ses engagements envers l’Etat ivoirien. A savoir « la reprise de tout le personnel de la régie avec les droits acquis, le paiement à l’Etat de 8 milliards de francs Cfa de droit d’entrée à l’Etat de Côte d’Ivoire, le versement de 13% du chiffre d’affaires annuel à l’Etat et l’acquisition du matériel pour l’exploitation d’environ 12 milliards de francs Cfa. Cela donne un investissement global de 20 milliards de francs Cfa à cette convention signée pour une durée de 10 ans ». Selon lui, les améliorations attendues par la privatisation du service d’assistance en escale, devront contribuer à l’obtention des certifications que sont de la Safety audit for grounds opérations (ISAGO) et le Transport security administration (TSA).
DJè Abel