L’Aprocanci (Association nationale des producteurs de caoutchouc naturel de Côte d’Ivoire) est toujours dirigée par le président Honest Wadjas. Cette information a été donnée, hier par le président du comité des sages. Décisions issue selon lui, d’un conseil d’administration tenu le vendredi 27 mars dernier à Abidjan.
Le renommé planteur ivoirien d’hévéa, Honest Wadjas reste le président de l’Association nationale des producteurs de caoutchouc naturel de Côte d’Ivoire (Aprocanci) jusqu’à nouvel ordre. La décision a été prise lors d’un conseil d’administration le vendredi 27 mars dernier à Abidjan. Cette décision a été également soutenue par le Comité des sages des producteurs d’hévéa. Le Doyen Abbrith Miezan, administrateur à l’Aprocanci, par ailleurs président du comité des sages a affirmé que c’est M. Honest Wadjas qui est le président de l’Association. « Nous demandons à nos amis de se ressaisir. Il faut absolument éviter le désordre dans la filière », a indiqué le doyen d’âge. Pour lui, ceux qui pensent que 600 millions FCFA ont été dépensés dans le secteur sans être justifiés devront attendre absolument la décision de la justice bien avant qu’ils ne se prononcent sur une quelconque démission du président de l’Association. « Si la justice le culpabilise, alors nous prendrons ensemble les décisions adéquates. On ne peut donc décider de son départ de façon unilatérale. Pour l’heure, on ne peut pas s’appuyer sur ce qui n’est pas fondé pour prétendre le démettre de ses fonctions », souligne-t-il. D’ailleurs, concernant toutes les accusations dont il fait l’objet, le président du Comité des sages indique que le président Wadjas n’était pas le seul signataire des chèques. Le cosignataire note-t-il, se trouve aujourd’hui dans la dissidence. Wadjas a pourtant demandé que les dissidents lui adjoignent deux cosignataires avant les décisions de la justice et les résultats du comité des sages. « Pourquoi n’ont-ils pas attendu et tentent-ils de le décharger de ses fonctions. Ces choses ne passeront pas parce que la Côte d’Ivoire est un pays de droit avec des structures efficientes. Il ne faut pas procéder dans le désordre », a indiqué le Doyen Abbrith. Pour lui, le président Honest Wadjas est belle et bien à la barre à l’Aprocanci parce qu’il a posé des actes de grandes envergures et de développement dans le secteur. En ce qui concerne la défense des producteurs, le président wadjas en a fait son cheval de bataille. C’est lui qui a positionné l’Aprocanci au plan international et positionné le caoutchouc ivoirien selon le doyen des sages. « C’est Wadjas qui a fait la promotion du caoutchouc ivoirien à travers l’Aprocanci considérée comme la seule association fiable au plan mondial », fait remarquer notre interlocuteur. C’est lui qui a favorisé la mise en place du jardin de bois de greffe (JBG). Concernant le cahier de charge, le président de l’Aprocanci, Honest wadjas a rempli sa mission à en croire Abbrith Miezan. Des motos pompes ont été mises à la disposition des pépiniéristes pour la fourniture des plans aux agriculteurs. « Il a toujours apporté le soutien de l’Aprocanci aux producteurs malades. Il a contribué à la mise en place du FDH (fonds de développement de l’hévéaculture). Nous demandons donc à nos amis de se ressaisir et proposer les deux cosignataires de leur camp pour que règne la paix dans la filière », a-t-il conclu.
Romaric Sako
Le renommé planteur ivoirien d’hévéa, Honest Wadjas reste le président de l’Association nationale des producteurs de caoutchouc naturel de Côte d’Ivoire (Aprocanci) jusqu’à nouvel ordre. La décision a été prise lors d’un conseil d’administration le vendredi 27 mars dernier à Abidjan. Cette décision a été également soutenue par le Comité des sages des producteurs d’hévéa. Le Doyen Abbrith Miezan, administrateur à l’Aprocanci, par ailleurs président du comité des sages a affirmé que c’est M. Honest Wadjas qui est le président de l’Association. « Nous demandons à nos amis de se ressaisir. Il faut absolument éviter le désordre dans la filière », a indiqué le doyen d’âge. Pour lui, ceux qui pensent que 600 millions FCFA ont été dépensés dans le secteur sans être justifiés devront attendre absolument la décision de la justice bien avant qu’ils ne se prononcent sur une quelconque démission du président de l’Association. « Si la justice le culpabilise, alors nous prendrons ensemble les décisions adéquates. On ne peut donc décider de son départ de façon unilatérale. Pour l’heure, on ne peut pas s’appuyer sur ce qui n’est pas fondé pour prétendre le démettre de ses fonctions », souligne-t-il. D’ailleurs, concernant toutes les accusations dont il fait l’objet, le président du Comité des sages indique que le président Wadjas n’était pas le seul signataire des chèques. Le cosignataire note-t-il, se trouve aujourd’hui dans la dissidence. Wadjas a pourtant demandé que les dissidents lui adjoignent deux cosignataires avant les décisions de la justice et les résultats du comité des sages. « Pourquoi n’ont-ils pas attendu et tentent-ils de le décharger de ses fonctions. Ces choses ne passeront pas parce que la Côte d’Ivoire est un pays de droit avec des structures efficientes. Il ne faut pas procéder dans le désordre », a indiqué le Doyen Abbrith. Pour lui, le président Honest Wadjas est belle et bien à la barre à l’Aprocanci parce qu’il a posé des actes de grandes envergures et de développement dans le secteur. En ce qui concerne la défense des producteurs, le président wadjas en a fait son cheval de bataille. C’est lui qui a positionné l’Aprocanci au plan international et positionné le caoutchouc ivoirien selon le doyen des sages. « C’est Wadjas qui a fait la promotion du caoutchouc ivoirien à travers l’Aprocanci considérée comme la seule association fiable au plan mondial », fait remarquer notre interlocuteur. C’est lui qui a favorisé la mise en place du jardin de bois de greffe (JBG). Concernant le cahier de charge, le président de l’Aprocanci, Honest wadjas a rempli sa mission à en croire Abbrith Miezan. Des motos pompes ont été mises à la disposition des pépiniéristes pour la fourniture des plans aux agriculteurs. « Il a toujours apporté le soutien de l’Aprocanci aux producteurs malades. Il a contribué à la mise en place du FDH (fonds de développement de l’hévéaculture). Nous demandons donc à nos amis de se ressaisir et proposer les deux cosignataires de leur camp pour que règne la paix dans la filière », a-t-il conclu.
Romaric Sako