Près de deux heures de blocage. Le procès sur la suspension de Pascal Affi N’Guessan de ses fonctions de président du Front populaire ivoirien (Fpi) a connu de longs moments d’interruption, hier jeudi 2 avril 2015, au tribunal d’Abidjan-Plateau.
En effet, les avocats du camp d’Abou Drahamane Sangaré ont fait une demande reconventionnelle, obligeant le président contesté du Fpi à payer la somme de 50 millions de francs Cfa en guise de dommages et intérêts parce qu’il aurait mis à mal le bon fonctionnement et la cohésion au sein du parti. Me Gogo Achille, qui conduisait les débats pour le compte des « frondeurs » du Fpi, s’est constitué partie civile dans cette affaire. Il a démontré que Pascal Affi N’Guessan n’est plus le président du Fpi eu égard à la... suite de l'article sur Soir Info
En effet, les avocats du camp d’Abou Drahamane Sangaré ont fait une demande reconventionnelle, obligeant le président contesté du Fpi à payer la somme de 50 millions de francs Cfa en guise de dommages et intérêts parce qu’il aurait mis à mal le bon fonctionnement et la cohésion au sein du parti. Me Gogo Achille, qui conduisait les débats pour le compte des « frondeurs » du Fpi, s’est constitué partie civile dans cette affaire. Il a démontré que Pascal Affi N’Guessan n’est plus le président du Fpi eu égard à la... suite de l'article sur Soir Info