Bouaké L’Autorité pour le désarmement, la démobilisation et la réintégration (ADDR a organisé, mardi, à Bouaké, une cérémonie régionale de sensibilisation pour la prise en compte des ex-combattants non encore intégrés, après le lancement de la campagne nationale le 11 février à Abidjan.
Le représentant du directeur de l’ADDR, Dr Jean-Jacques Konadjé Dangui, a indiqué que la mission de cette structure ne sera véritablement accomplie que lorsque tous les ex-combattants seront entrés dans le processus de réintégration dont la fin est prévue juin prochain.
"Le désarmement et la réintégration des ex-combattants est une obligation sociale et un impératif sécuritaire pour la Côte d’Ivoire", a-t-il déclaré.
Dr Konadjé a invité tous les agents sensibilisateurs des régions de Gbêkê, du Bélier, du Hambol, du N’Zi, de l’Iffou et du Moronou, à savoir le corps préfectoral, les leaders d’opinion, les ONG, les chefs traditionnels, les chefs religieux, les chefs de communautés et les leaders d’ex-combattants, à œuvrer pour l’atteinte de cet objectif.
Le préfet de la région de Gbêkê et du département de Bouaké, Aka Konin, a renchéri en soulignant que "le travail qui reste à faire n’est pas l’affaire de l’ADDR seule".
Il a invité les ex-combattants à adhérer au processus avant la date buttoir du 30 juin prévue pour la fin de la mission de l’ADDR.
L’Autorité pour le désarmement, la démobilisation et la réintégration a enregistré dans sa base de données 74.000 ex-combattants à réintégrer. Plus de 48.000, soit environ 66% de l’effectif de planification, ont été réintégrés ou sont en cours de l’être.
(AIP)
Nbf/kp
Le représentant du directeur de l’ADDR, Dr Jean-Jacques Konadjé Dangui, a indiqué que la mission de cette structure ne sera véritablement accomplie que lorsque tous les ex-combattants seront entrés dans le processus de réintégration dont la fin est prévue juin prochain.
"Le désarmement et la réintégration des ex-combattants est une obligation sociale et un impératif sécuritaire pour la Côte d’Ivoire", a-t-il déclaré.
Dr Konadjé a invité tous les agents sensibilisateurs des régions de Gbêkê, du Bélier, du Hambol, du N’Zi, de l’Iffou et du Moronou, à savoir le corps préfectoral, les leaders d’opinion, les ONG, les chefs traditionnels, les chefs religieux, les chefs de communautés et les leaders d’ex-combattants, à œuvrer pour l’atteinte de cet objectif.
Le préfet de la région de Gbêkê et du département de Bouaké, Aka Konin, a renchéri en soulignant que "le travail qui reste à faire n’est pas l’affaire de l’ADDR seule".
Il a invité les ex-combattants à adhérer au processus avant la date buttoir du 30 juin prévue pour la fin de la mission de l’ADDR.
L’Autorité pour le désarmement, la démobilisation et la réintégration a enregistré dans sa base de données 74.000 ex-combattants à réintégrer. Plus de 48.000, soit environ 66% de l’effectif de planification, ont été réintégrés ou sont en cours de l’être.
(AIP)
Nbf/kp