Jacques Anouma ancien président de la Fédération ivoirienne de football (FIF), a perdu sa place au sein du Comité exécutif de la FIFA pour la période 2015-2019. À l’issue de l’élection pour le renouvellement des membres africains au sein de l’instance mondiale du football, Jacques Anouma a été battu par le Tunisien Tarek Bouchamaoui et le Congolais Constant Omari, les nouveaux représentants du continent africain. Alors que perd le président de l’Afad d’Abidjan ?
Le président Jacques Anouma participera le 29 mai 2015 à son dernier congrès en sa qualité de membre du Comité exécutif sortant, afin de passer la main a Tarek Bouchamaoui et Constant Omari, les nouveaux locataires pour le compte de l’Afrique. Dès cet instant, l’ambassadeur Ivoirien perdra les privilèges liés à son ancienne fonction. Ainsi, Jacques Anouma n’aura plus accès aux réunions, il ne siègera plus aux assemblées. Il ne participera plus aux prises de décisions internes au niveau du gouvernement du football mondial. Les avantages financiers liés à son ancienne fonction lui seront retirés ; plus d’indemnités pour lui, ni de primes.
« Il n’a plus accès aux réunions, il ne siège plus aux assemblée, il n’a plus de prise de décision, il n’aura plus droit aux indemnités et primes. Il ne pourra plus voyager au frais de la FIFA », a confié l’un des représentants de la FIFA en Côte d’ Ivoire. Sans se lancer dans le débat des chiffres, notre interlocuteur précise cependant que ce sont des centaines de millions FCFA que perdent, les représentants sortant du Comité exécutif de la FIFA en termes d’indemnités, de voyages, et autres avantages. Même si le président Jacques Anouma perd quelques privilèges matériels liées à ses fonctions pendant ses huit dernières années, il conserve néanmoins la somme d’expériences acquise au sein du Comité exécutif de la FIFA.
« Si la FIFA a besoin de lui pour son expertise, dans un domaine précis, elle mettra la main à la poche pour lui payer ses services », a indiqué notre source. En effet, Jacques Anouma qui reste membre d'une commission technique de la Fifa, connait bien les rouages de fonctionnement du football mondial, et la FIFA ne saurait se passer de ses services. Interrogé sur la question, un proche du président Jacques Anouma s’est refusé de répondre. « Je suis mal placé pour répondre. Contactez-le concerné », nous a-t-il indiqué.
Ange K
Le président Jacques Anouma participera le 29 mai 2015 à son dernier congrès en sa qualité de membre du Comité exécutif sortant, afin de passer la main a Tarek Bouchamaoui et Constant Omari, les nouveaux locataires pour le compte de l’Afrique. Dès cet instant, l’ambassadeur Ivoirien perdra les privilèges liés à son ancienne fonction. Ainsi, Jacques Anouma n’aura plus accès aux réunions, il ne siègera plus aux assemblées. Il ne participera plus aux prises de décisions internes au niveau du gouvernement du football mondial. Les avantages financiers liés à son ancienne fonction lui seront retirés ; plus d’indemnités pour lui, ni de primes.
« Il n’a plus accès aux réunions, il ne siège plus aux assemblée, il n’a plus de prise de décision, il n’aura plus droit aux indemnités et primes. Il ne pourra plus voyager au frais de la FIFA », a confié l’un des représentants de la FIFA en Côte d’ Ivoire. Sans se lancer dans le débat des chiffres, notre interlocuteur précise cependant que ce sont des centaines de millions FCFA que perdent, les représentants sortant du Comité exécutif de la FIFA en termes d’indemnités, de voyages, et autres avantages. Même si le président Jacques Anouma perd quelques privilèges matériels liées à ses fonctions pendant ses huit dernières années, il conserve néanmoins la somme d’expériences acquise au sein du Comité exécutif de la FIFA.
« Si la FIFA a besoin de lui pour son expertise, dans un domaine précis, elle mettra la main à la poche pour lui payer ses services », a indiqué notre source. En effet, Jacques Anouma qui reste membre d'une commission technique de la Fifa, connait bien les rouages de fonctionnement du football mondial, et la FIFA ne saurait se passer de ses services. Interrogé sur la question, un proche du président Jacques Anouma s’est refusé de répondre. « Je suis mal placé pour répondre. Contactez-le concerné », nous a-t-il indiqué.
Ange K