Bouaké - Des enseignants de l’Université Alassane Ouattara ont entamé, mardi, à Bouaké, une grève illimitée initiée par la Coordination nationale des enseignants du supérieur et des chercheurs de Côte d’Ivoire (CNEC) pour réclamer une amélioration de leurs situations salariales.
Le secrétaire général de la section locale de la CNEC Pr. Tro Deho Roger, et ses camarades ont pris la décision de suivre le mouvement initié par le bureau national, lors d’une assemblée générale qu’ils ont tenue, après avoir dispensé quelques heures de cours le matin.
Pr Tro a exhorté les membres de ce synicat à rester mobilisés et à l’écoute de la hiérarchie pour recevoir les informations utiles relatives à l’évolution de la grève.
Les enseignants du supérieur revendiquent notamment, le paiement du reliquat de leurs salaires relatif à l’application de la grille définie par le décret du 23 septembre 2007, la revalorisation de cette grille et des primes de recherche par rapport à la mise en œuvre du système LMD en conformité avec les barèmes en vigueur dans les pays de la sous-région et l’augmentation de la rémunération du taux horaire qui leur est due de 5535F à 17.000FCFA.
A en croire le secrétaire général national de la CNEC, Pr Ouattara Mamadou, les enseignants ont décidé de débrayer parce qu’ils n’ont obtenu aucune réponse satisfaisante du gouvernement, après les différentes rencontres qui ont suivi leur préavis de grève.
Les enseignants de l’université Félix Houphouet Boigny d’Abidjan observent, depuis vendredi, un arrêt de travail, pour les mêmes motifs.
nbf/ask
Le secrétaire général de la section locale de la CNEC Pr. Tro Deho Roger, et ses camarades ont pris la décision de suivre le mouvement initié par le bureau national, lors d’une assemblée générale qu’ils ont tenue, après avoir dispensé quelques heures de cours le matin.
Pr Tro a exhorté les membres de ce synicat à rester mobilisés et à l’écoute de la hiérarchie pour recevoir les informations utiles relatives à l’évolution de la grève.
Les enseignants du supérieur revendiquent notamment, le paiement du reliquat de leurs salaires relatif à l’application de la grille définie par le décret du 23 septembre 2007, la revalorisation de cette grille et des primes de recherche par rapport à la mise en œuvre du système LMD en conformité avec les barèmes en vigueur dans les pays de la sous-région et l’augmentation de la rémunération du taux horaire qui leur est due de 5535F à 17.000FCFA.
A en croire le secrétaire général national de la CNEC, Pr Ouattara Mamadou, les enseignants ont décidé de débrayer parce qu’ils n’ont obtenu aucune réponse satisfaisante du gouvernement, après les différentes rencontres qui ont suivi leur préavis de grève.
Les enseignants de l’université Félix Houphouet Boigny d’Abidjan observent, depuis vendredi, un arrêt de travail, pour les mêmes motifs.
nbf/ask