Le cabinet d’intelligence économique et de conseil Oxford Business Group a produit son dernier rapport sur la situation économique de la Côte d’Ivoire. Dans ce document, les analystes du cabinet notent que les dépenses publiques et les projets d’infrastructures en cours en Côte d’Ivoire continuent à stimuler la croissance et selon les dernières estimations, le taux de croissance de l’économie ivoirienne devrait s’établir à 7,5% en 2017. Après des années d’incertitudes, la Côte d’Ivoire devra, en priorité, continuer à mettre en œuvre des mesures pour attirer l’investissement privé et créer de l’emploi afin de soutenir la croissance.
Le rapport 2015 d’Oxford Business Group dénommé «The Report : Côte d’Ivoire 2015», aborde en détail le plan de diversification économique qui a été mis en place pour stabiliser les dépenses et rassurer les créditeurs et il ressort de ce rapport que le nouveau guide d’investissement et les réformes engagées afin d’ouvrir la Côte d’Ivoire à l’investissement commencent à avoir des résultats positifs, dans un contexte de croissance à la hausse où le système bancaire est également en pleine expansion. Dans ce même contexte, les nouvelles régularisations au niveau local ainsi que les privatisations attirent de plus en plus le regard des investisseurs étrangers, ce qui explique l’optimisme d’Andrew Jeffreys, PDG d’Oxford Business Group : «La Côte d’Ivoire a connu une reprise significative à partir de 2011, avec des taux de croissance bien supérieurs aux moyennes mondiale et continentale.
Malgré les défis actuels, notamment en matière d’emploi, le gouvernement s’est montré très actif et a mis en place des mesures destinées à développer l’environnement des affaires, surtout que la Côte d’Ivoire possède un grand potentiel». Pour le directeur Editorial Afrique du cabinet d’intelligence économique, les «perspectives macroéconomiques à court terme restent encourageantes, malgré d’éventuelles inquétudes concernant le gonflement et la gestion de la dette». Il précise que : «De nombreux efforts ont déjà été faits pour améliorer le climats des affaires, mais de nouvelles réformes structurelles seront nécessaires pour promouvoir davantage l’investissement privé et étranger et réduire ainsi la dépendance de l’économie ivoirienne au secteur public. Le secteur immobilier n’est pas en reste dans ce rapport. Les experts du groupe recommandent la poursuite des efforts pour plus de transparence dans le secteur. Le rapport 2015 sur la Côte d’Ivoire a été réalisé en partenariat avec le Centre de promotion des investissements en Côte d’Ivoire (CEPICI, Hudson&Cie-Capital et Bilé Aka, Brizoua Bi& Associés.
Olivier Dion
Le rapport 2015 d’Oxford Business Group dénommé «The Report : Côte d’Ivoire 2015», aborde en détail le plan de diversification économique qui a été mis en place pour stabiliser les dépenses et rassurer les créditeurs et il ressort de ce rapport que le nouveau guide d’investissement et les réformes engagées afin d’ouvrir la Côte d’Ivoire à l’investissement commencent à avoir des résultats positifs, dans un contexte de croissance à la hausse où le système bancaire est également en pleine expansion. Dans ce même contexte, les nouvelles régularisations au niveau local ainsi que les privatisations attirent de plus en plus le regard des investisseurs étrangers, ce qui explique l’optimisme d’Andrew Jeffreys, PDG d’Oxford Business Group : «La Côte d’Ivoire a connu une reprise significative à partir de 2011, avec des taux de croissance bien supérieurs aux moyennes mondiale et continentale.
Malgré les défis actuels, notamment en matière d’emploi, le gouvernement s’est montré très actif et a mis en place des mesures destinées à développer l’environnement des affaires, surtout que la Côte d’Ivoire possède un grand potentiel». Pour le directeur Editorial Afrique du cabinet d’intelligence économique, les «perspectives macroéconomiques à court terme restent encourageantes, malgré d’éventuelles inquétudes concernant le gonflement et la gestion de la dette». Il précise que : «De nombreux efforts ont déjà été faits pour améliorer le climats des affaires, mais de nouvelles réformes structurelles seront nécessaires pour promouvoir davantage l’investissement privé et étranger et réduire ainsi la dépendance de l’économie ivoirienne au secteur public. Le secteur immobilier n’est pas en reste dans ce rapport. Les experts du groupe recommandent la poursuite des efforts pour plus de transparence dans le secteur. Le rapport 2015 sur la Côte d’Ivoire a été réalisé en partenariat avec le Centre de promotion des investissements en Côte d’Ivoire (CEPICI, Hudson&Cie-Capital et Bilé Aka, Brizoua Bi& Associés.
Olivier Dion
