L'ancien vice-Premier ministre espagnol Rodrigo Rato, qui a également été directeur du Fonds monétaire international, a été arrêté jeudi après-midi pour fraude fiscale, dissimulation d'actifs et blanchiment d'argent.
Rodrigo Rato, qui a également été président de la banque Bankia, laquelle a eu besoin d'un plan de sauvetage gouvernemental de près de 24 milliards de dollars en mai 2012, a été arrêté à son domicile de Madrid après une perquisition sur instruction judiciaire.
Vice-Premier ministre pour le Parti populaire (PP) sous José Maria Aznar, Rodrigo Rato est un de ceux qui ont bénéficié de l'amnistie fiscale approuvée en 2012 par le successeur d'Aznar en tant que chef du PP, Mariano Rajoy.
Le ministre espagnol de la Justice Rafael Catala a estimé que cette arrestation montrait que la loi était "la même pour tout le monde".
"Cela montre que le système judiciaire fonctionne et que les juges et les avocats font leur travail et que les institutions garantissent que la loi soit égale pour tous", a insisté M. Catala.
La perquisition au domicile de Rodrigo Rato a duré tout l'après-midi. Dans la soirée les autorités ont emmené Rodrigo Rato, lequel a également dû témoigner récemment pour l'usage par d'anciens directeurs de la Bankia de cartes de crédit non déclarées, à son bureau pour y procéder à une seconde perquisition.
Rodrigo Rato, qui a également été président de la banque Bankia, laquelle a eu besoin d'un plan de sauvetage gouvernemental de près de 24 milliards de dollars en mai 2012, a été arrêté à son domicile de Madrid après une perquisition sur instruction judiciaire.
Vice-Premier ministre pour le Parti populaire (PP) sous José Maria Aznar, Rodrigo Rato est un de ceux qui ont bénéficié de l'amnistie fiscale approuvée en 2012 par le successeur d'Aznar en tant que chef du PP, Mariano Rajoy.
Le ministre espagnol de la Justice Rafael Catala a estimé que cette arrestation montrait que la loi était "la même pour tout le monde".
"Cela montre que le système judiciaire fonctionne et que les juges et les avocats font leur travail et que les institutions garantissent que la loi soit égale pour tous", a insisté M. Catala.
La perquisition au domicile de Rodrigo Rato a duré tout l'après-midi. Dans la soirée les autorités ont emmené Rodrigo Rato, lequel a également dû témoigner récemment pour l'usage par d'anciens directeurs de la Bankia de cartes de crédit non déclarées, à son bureau pour y procéder à une seconde perquisition.