Abidjan - Un atelier d'évaluation à mi-parcours du programme d’appui à la recherche en réseau en Afrique (PARRAF), a été ouvert, mardi, à Abidjan, afin de relever les progrès réalisés, deux ans après la mise en œuvre de ce programme, et d'entrevoir les perspectives de sa pérennisation.
Les participants sont originaires de 12 pays où s'exécute le PARRAF qui a été initié par le ministère français des Affaires étrangères et confié à l’Institut de recherche pour le développement (IRD). Il finance à hauteur de 1,9 millions d’Euros (1,244 milliards de FCFA), sept réseaux et huit projets dans 100 laboratoires, en matière d’urbanisation, d’environnement, d’agriculture durable, de santé et d’eau, en Afrique de l’Ouest et du Centre.
"La valorisation de la recherche et la mise en valeur des résultats par des équipes mixtes de chercheurs africains et français devraient permettre de proposer des solutions durables aux enjeux de développement", a indiqué, mercredi, l’ambassadeur de France en Côte d’Ivoire, George Serre, lors d’une journée consacrée aux rencontres institutionnelles, au pôle scientifique et d’innovation de l’université de Cocody.
Le diplomate français a souligné que la réponse "rapide, efficace et ferme" de la Côte d’Ivoire face à la menace d’Ebola ou encore les résultats proposés en matière d’agriculture lors du dernier Salon international de l’agriculture et des ressources halieutiques (SARA 2015) sont des exemples qui prouvent que "la recherche et l’économie réelle vont ensemble".
Le directeur de cabinet du ministère de la Recherche scientifique et de l’Innovation technologique, Kpagni Moro Albert, a souhaité que les travaux des experts et chercheurs aboutissent à "l’intégration des compétences et à la mutualisation des moyens pour construire des systèmes de recherche performants au service du développement du continent".
Ce programme doit s’achever en 2015. Sa pérennisation dépendra du financement que voudront consentir les Etats et les opérateurs économiques.
A l’issue de cette évaluation à mi-parcours et des recommandations qui seront formulées, le président du comité scientifique du PARRAF, Michel Simeu Kamdem, souhaite que le dialogue entre la communauté scientifique, les acteurs de développement, la société civile et les opérateurs économiques, permette de convaincre les entreprises que "la recherche et l’innovation sont un facteur déterminant pour le renforcement de leurs capacités de production".
Depuis 2012, le PARRAF renforce les capacités scientifiques en Afrique, soutient l’émergence et la structuration de réseaux régionaux de recherche. Et cela pour favoriser l’intégration des chercheurs africains dans la communauté scientifique internationale et relever les défis du développement, selon le représentant de l’IRD en Côte d’Ivoire, Jean-Marc Hougard.
aaa/akn/ask
Les participants sont originaires de 12 pays où s'exécute le PARRAF qui a été initié par le ministère français des Affaires étrangères et confié à l’Institut de recherche pour le développement (IRD). Il finance à hauteur de 1,9 millions d’Euros (1,244 milliards de FCFA), sept réseaux et huit projets dans 100 laboratoires, en matière d’urbanisation, d’environnement, d’agriculture durable, de santé et d’eau, en Afrique de l’Ouest et du Centre.
"La valorisation de la recherche et la mise en valeur des résultats par des équipes mixtes de chercheurs africains et français devraient permettre de proposer des solutions durables aux enjeux de développement", a indiqué, mercredi, l’ambassadeur de France en Côte d’Ivoire, George Serre, lors d’une journée consacrée aux rencontres institutionnelles, au pôle scientifique et d’innovation de l’université de Cocody.
Le diplomate français a souligné que la réponse "rapide, efficace et ferme" de la Côte d’Ivoire face à la menace d’Ebola ou encore les résultats proposés en matière d’agriculture lors du dernier Salon international de l’agriculture et des ressources halieutiques (SARA 2015) sont des exemples qui prouvent que "la recherche et l’économie réelle vont ensemble".
Le directeur de cabinet du ministère de la Recherche scientifique et de l’Innovation technologique, Kpagni Moro Albert, a souhaité que les travaux des experts et chercheurs aboutissent à "l’intégration des compétences et à la mutualisation des moyens pour construire des systèmes de recherche performants au service du développement du continent".
Ce programme doit s’achever en 2015. Sa pérennisation dépendra du financement que voudront consentir les Etats et les opérateurs économiques.
A l’issue de cette évaluation à mi-parcours et des recommandations qui seront formulées, le président du comité scientifique du PARRAF, Michel Simeu Kamdem, souhaite que le dialogue entre la communauté scientifique, les acteurs de développement, la société civile et les opérateurs économiques, permette de convaincre les entreprises que "la recherche et l’innovation sont un facteur déterminant pour le renforcement de leurs capacités de production".
Depuis 2012, le PARRAF renforce les capacités scientifiques en Afrique, soutient l’émergence et la structuration de réseaux régionaux de recherche. Et cela pour favoriser l’intégration des chercheurs africains dans la communauté scientifique internationale et relever les défis du développement, selon le représentant de l’IRD en Côte d’Ivoire, Jean-Marc Hougard.
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