Abidjan - Le Comité de suivi des actes du séminaire sur "Election et violence en Côte d’Ivoire" a procédé au lancement de ses activités, jeudi, en présence du président de la Commission électorale indépendante (CEI), Youssouf Bakayoko.
Au sortir de la crise postélectorale de 2010 qui a fait officiellement plus de 3.000 morts en Côte d’Ivoire, l’Académie des sciences, des arts, des cultures d’Afrique et des diasporas africaines (ASCAD), prenant conscience des risques que représente la violence dans l’organisation et la gestion des élections, a initié un séminaire sur le thème "Election et violence en Côte d’Ivoire" au terme duquel 10 recommandations ont été faites aux gouvernants et autres acteurs du processus électoral.
Ainsi les participants ont évoqué la création d’un comité de suivi de 11 membres dans la mise en œuvre de ces conseils qui ont porté notamment sur le caractère démocratique du scrutin, les difficultés rencontrées dans l’organisation des élections, la sécurité.
Le président Youssouf Bakayoko s’est félicité du démarrage des activités du comité de suivi, rassurant que la CEI mettra tout en œuvre pour rendre les prochaines élections crédibles.
Pour le président de l’ASCAD, Pr Ouraga Obou, la cérémonie de lancement des activités de ce comité de suivi qui comprend des représentants de partis politiques marque le début de la sensibilisation de masse des populations pour des élections sans violence.
"Nous irons, après Abidjan, à Duékoué, Guiglo, Man Abengourou, Daloa Bondoukou", a ajouté Pr Ouraga, estimant qu’il reste beaucoup à faire auprès des populations à six mois des élections.
"Nous félicitons l’ASCAD pour avoir accepté de quitter les amphis et les laboratoires à la recherche de la paix", a déclaré Marc Emert du programme CITI2 (Côte d’Ivoire Transitional Initiative 2) qui a apporté son appui à l’organisation de cette cérémonie de lancement.
Un plan d’action du comité de sensibilisation pour des élections sans violence en Côte d’Ivoire a été présenté au public à cette occasion.
Ik/akn/kp
Au sortir de la crise postélectorale de 2010 qui a fait officiellement plus de 3.000 morts en Côte d’Ivoire, l’Académie des sciences, des arts, des cultures d’Afrique et des diasporas africaines (ASCAD), prenant conscience des risques que représente la violence dans l’organisation et la gestion des élections, a initié un séminaire sur le thème "Election et violence en Côte d’Ivoire" au terme duquel 10 recommandations ont été faites aux gouvernants et autres acteurs du processus électoral.
Ainsi les participants ont évoqué la création d’un comité de suivi de 11 membres dans la mise en œuvre de ces conseils qui ont porté notamment sur le caractère démocratique du scrutin, les difficultés rencontrées dans l’organisation des élections, la sécurité.
Le président Youssouf Bakayoko s’est félicité du démarrage des activités du comité de suivi, rassurant que la CEI mettra tout en œuvre pour rendre les prochaines élections crédibles.
Pour le président de l’ASCAD, Pr Ouraga Obou, la cérémonie de lancement des activités de ce comité de suivi qui comprend des représentants de partis politiques marque le début de la sensibilisation de masse des populations pour des élections sans violence.
"Nous irons, après Abidjan, à Duékoué, Guiglo, Man Abengourou, Daloa Bondoukou", a ajouté Pr Ouraga, estimant qu’il reste beaucoup à faire auprès des populations à six mois des élections.
"Nous félicitons l’ASCAD pour avoir accepté de quitter les amphis et les laboratoires à la recherche de la paix", a déclaré Marc Emert du programme CITI2 (Côte d’Ivoire Transitional Initiative 2) qui a apporté son appui à l’organisation de cette cérémonie de lancement.
Un plan d’action du comité de sensibilisation pour des élections sans violence en Côte d’Ivoire a été présenté au public à cette occasion.
Ik/akn/kp
