Pendant les fêtes de paques, le souverain Pontife FRANCOIS a célébré la grand’messe au Vatican. Celles des fameuses bénédictions URBI ET ORBI. Il a demandé que les différences et les diversités soient non seulement respectées, mais, surtout considérées comme source d’enrichissement et de complémentarité pour l’humanité.
A la Journée Nationale du Partenariat Etat Secteur Privé (JNPESP), le Premier Ministre Daniel Kablan DUNCAN célèbrera, lui aussi, une grand’messe. Mais d’un genre tout autre. Entre l’Etat et le Secteur Privé. Deux entités différentes, complémentaires et s’enrichissant mutuellement.
En économie, le Secteur Privé désigne le secteur dans lequel l’Etat n’intervient pas ou intervient très peu dans un rôle régulateur. Il constitue le secteur dans lequel s’exercent et s’apprécient les initiatives privées.
Néanmoins, dans le dictionnaire d’économie et de sciences sociales, Claude-Danièle Echaudemaison (2006) définit le Secteur Privé comme l’ensemble des entreprises dont le capital est détenu par des personnes physiques, des particuliers, ou par des personnes morales privées ou des sociétés.
Le Secteur Privé comprend, outre les entreprises capitalistes, le secteur associatif.
En termes clairs, le Secteur Privé est en opposition au secteur public qui regroupe les administrations publiques et les entreprises sur lesquelles l’Etat exerce une influence décisive.
Selon l’OCDE (2006), le Secteur Privé n’est pas seulement constitué des entreprises du secteur formel. Individus et ménages, riches ou pauvres, sont aussi des acteurs économiques privés dans la mesure où ils consomment des biens et services, vendent leur travail, cultivent ou produisent des biens et services.
Ainsi, la politique de développement du Secteur Privé se définit comme l’ensemble des mesures officielles que l’Etat initie et exécute dans le but de faciliter significativement l’animation de la vie économique par tous ceux qui y aspirent sans distinction de nationalité et de race.
Des cadres sectoriels au COMITE DE CONCERTATION ETAT – SECTEUR PRIVE (CCESP) en passant par les rencontres en tout genre, le nécessaire dialogue entre les deux entités n’est plus à démontrer.
Depuis, Etat et Secteur Privé y vont, chacun de sa bonne foi, en discours, en profession de foi et en actes pour signifier que désormais, aucun d’entre eux ne doit aller sans l’autre.
La Journée Nationale du Partenariat Etat - Secteur Privé (JNPESP) apparait ainsi comme une pause pour faire le point de toutes ces actions et comme réponse aux défis et enjeux à l’horizon 2015 dans la promotion de la démarche partenariale, qui a d’abord été expérimentée à travers les mécanismes de concertation et l’approche participative.
Dans le cadre très enchanteur du Sofitel Abidjan Hôtel Ivoire, l’opportunité est offerte aux acteurs du dialogue Etat Secteur Privé, toute une journée, d’échanger, de débattre, de réfléchir et d’instruire collégialement les directives et les perspectives qui vont œuvrer à faire du Secteur Privé de notre pays, un pôle de compétitivité, de création de richesses, pourvoyeur d’emplois et de croissance durables.
Il s’agira donc pour l’Etat et le Secteur Privé de venir signer, leur acte de mariage, pacte de stabilité et de croissance dont l’objectif à terme, est d’édifier une économie prospère et compétitive tirée par le Secteur Privé.
Au sortir de la JNPESP, les rôles des différents agents économiques devront être redéfinis presque de la façon suivante: les opérateurs économiques privés (regroupés au sein du Secteur Privé) seront désormais chargés de jouer un rôle prépondérant dans la création de la richesse, ils seront chargés d’entreprendre des initiatives très productives qui devront fournir des emplois permettant d’améliorer le niveau de vie des populations. L’Etat dans son rôle régalien, se devra de créer les conditions favorables à la mise en œuvre de ces initiatives.
C’est pourquoi, depuis près de trois mois, l’Etat et le Secteur Privé, dans leurs différents démembrements et à l’instigation du CCESP, ont multiplié les rencontres dans le cadre du Comité Scientifique de la JNPESP. Convaincus que c’est ensemble qu’il faudra définir les actions concertées pour une économie plus performante.
Un bilan a été dressé. A partir d’un état des lieux des différents cadres créés. Tenant compte de leurs forces et de leurs faiblesses. Un diagnostic a été posé. Pour aboutir à la nécessité d’élaborer une stratégie nationale de concertation, fédérant toutes les énergies pour une meilleure coordination des actions à venir.
En outre, le financement du Secteur Privé en général et des PME en particulier, a constitué l’autre tenant de ces travaux préparatoires.
Un instrument sera proposé, qui tient compte des limites et insuffisances des mécanismes déjà mis en place. Pour une plus grande efficacité d’un Secteur Privé que nous souhaitons tous plus compétitif.
TWINS SPECIAL JNPESP, vous restitue la quintessence des travaux en vous plongeant au cœur des activités de ce qui doit être la grand’ messe de notre économie.
Bonne lecture et à très bientôt.
A la Journée Nationale du Partenariat Etat Secteur Privé (JNPESP), le Premier Ministre Daniel Kablan DUNCAN célèbrera, lui aussi, une grand’messe. Mais d’un genre tout autre. Entre l’Etat et le Secteur Privé. Deux entités différentes, complémentaires et s’enrichissant mutuellement.
En économie, le Secteur Privé désigne le secteur dans lequel l’Etat n’intervient pas ou intervient très peu dans un rôle régulateur. Il constitue le secteur dans lequel s’exercent et s’apprécient les initiatives privées.
Néanmoins, dans le dictionnaire d’économie et de sciences sociales, Claude-Danièle Echaudemaison (2006) définit le Secteur Privé comme l’ensemble des entreprises dont le capital est détenu par des personnes physiques, des particuliers, ou par des personnes morales privées ou des sociétés.
Le Secteur Privé comprend, outre les entreprises capitalistes, le secteur associatif.
En termes clairs, le Secteur Privé est en opposition au secteur public qui regroupe les administrations publiques et les entreprises sur lesquelles l’Etat exerce une influence décisive.
Selon l’OCDE (2006), le Secteur Privé n’est pas seulement constitué des entreprises du secteur formel. Individus et ménages, riches ou pauvres, sont aussi des acteurs économiques privés dans la mesure où ils consomment des biens et services, vendent leur travail, cultivent ou produisent des biens et services.
Ainsi, la politique de développement du Secteur Privé se définit comme l’ensemble des mesures officielles que l’Etat initie et exécute dans le but de faciliter significativement l’animation de la vie économique par tous ceux qui y aspirent sans distinction de nationalité et de race.
Des cadres sectoriels au COMITE DE CONCERTATION ETAT – SECTEUR PRIVE (CCESP) en passant par les rencontres en tout genre, le nécessaire dialogue entre les deux entités n’est plus à démontrer.
Depuis, Etat et Secteur Privé y vont, chacun de sa bonne foi, en discours, en profession de foi et en actes pour signifier que désormais, aucun d’entre eux ne doit aller sans l’autre.
La Journée Nationale du Partenariat Etat - Secteur Privé (JNPESP) apparait ainsi comme une pause pour faire le point de toutes ces actions et comme réponse aux défis et enjeux à l’horizon 2015 dans la promotion de la démarche partenariale, qui a d’abord été expérimentée à travers les mécanismes de concertation et l’approche participative.
Dans le cadre très enchanteur du Sofitel Abidjan Hôtel Ivoire, l’opportunité est offerte aux acteurs du dialogue Etat Secteur Privé, toute une journée, d’échanger, de débattre, de réfléchir et d’instruire collégialement les directives et les perspectives qui vont œuvrer à faire du Secteur Privé de notre pays, un pôle de compétitivité, de création de richesses, pourvoyeur d’emplois et de croissance durables.
Il s’agira donc pour l’Etat et le Secteur Privé de venir signer, leur acte de mariage, pacte de stabilité et de croissance dont l’objectif à terme, est d’édifier une économie prospère et compétitive tirée par le Secteur Privé.
Au sortir de la JNPESP, les rôles des différents agents économiques devront être redéfinis presque de la façon suivante: les opérateurs économiques privés (regroupés au sein du Secteur Privé) seront désormais chargés de jouer un rôle prépondérant dans la création de la richesse, ils seront chargés d’entreprendre des initiatives très productives qui devront fournir des emplois permettant d’améliorer le niveau de vie des populations. L’Etat dans son rôle régalien, se devra de créer les conditions favorables à la mise en œuvre de ces initiatives.
C’est pourquoi, depuis près de trois mois, l’Etat et le Secteur Privé, dans leurs différents démembrements et à l’instigation du CCESP, ont multiplié les rencontres dans le cadre du Comité Scientifique de la JNPESP. Convaincus que c’est ensemble qu’il faudra définir les actions concertées pour une économie plus performante.
Un bilan a été dressé. A partir d’un état des lieux des différents cadres créés. Tenant compte de leurs forces et de leurs faiblesses. Un diagnostic a été posé. Pour aboutir à la nécessité d’élaborer une stratégie nationale de concertation, fédérant toutes les énergies pour une meilleure coordination des actions à venir.
En outre, le financement du Secteur Privé en général et des PME en particulier, a constitué l’autre tenant de ces travaux préparatoires.
Un instrument sera proposé, qui tient compte des limites et insuffisances des mécanismes déjà mis en place. Pour une plus grande efficacité d’un Secteur Privé que nous souhaitons tous plus compétitif.
TWINS SPECIAL JNPESP, vous restitue la quintessence des travaux en vous plongeant au cœur des activités de ce qui doit être la grand’ messe de notre économie.
Bonne lecture et à très bientôt.