Korhogo – La présidente de l’Interprofession de l’oignon de Côte d’Ivoire (IOCI), Mme Djè Bi, a invité samedi les dirigeants ivoiriens à s’intéresser à la culture de l’oignon pour réduire la pauvreté.
"Ce que nous demandons à l’Etat, c’est la volonté politique, car si les politiciens s’intéressent à la production de l’oignon comme au produit de rente tel que le cacao et le café (…), cela peut donner de l’emploi aux jeunes et aux femmes", a déclaré Mme Djè Bi, lors de la journée des intrants et des semences de l’oignon à Korhogo.
Elle a relevé que l’oignon fait gagner beaucoup d’argent aux acteurs de la filière, souhaitant que l’Etat accompagne les producteurs en donnant les semences et en demandant aux propriétaires terriens de donner des parcelles aux producteurs afin de réduire la pauvreté.
La présidente de IOCI a déploré l’absence de statistiques de production de l’oignon dans la zone de Korhogo.
"Les gens qui cultivent l’oignon, ne le pèsent pas et prennent pas les produits dans les cuvettes. Les produits sont écoulés sur le marchés sans être pesés", a-t-elle fait remarquer.
La président de l’Interprofession de l’oignon de Côte d’Ivoire a invité les ivoiriens à s’intéresser à la culture de l’oignon afin que la Côte d’Ivoire ne dépende plus des autres pays de la sous-région.
Cette journée des intrants et des semences de l’oignon, organisée en collaboration ProFIAB, vise à améliorer la connaissance des acteurs de la filière sur les intrants disponibles sur le marché pour une meilleure productivité de l’oignon.
Il s’est aussi agi de faciliter les relations entre producteurs et fournisseurs, de sensibiliser les acteurs sur les enjeux des intrants de qualité et de donner les informations sur les différentes variétés d’oignon adaptées aux différentes saisons.
La Côte d’Ivoire importe 95% de sa consommation d’oignon. Au nord du pays, l’oignon reste l’une des cultures phares, a-t-on appris.
(AIP)
Apk/kp
"Ce que nous demandons à l’Etat, c’est la volonté politique, car si les politiciens s’intéressent à la production de l’oignon comme au produit de rente tel que le cacao et le café (…), cela peut donner de l’emploi aux jeunes et aux femmes", a déclaré Mme Djè Bi, lors de la journée des intrants et des semences de l’oignon à Korhogo.
Elle a relevé que l’oignon fait gagner beaucoup d’argent aux acteurs de la filière, souhaitant que l’Etat accompagne les producteurs en donnant les semences et en demandant aux propriétaires terriens de donner des parcelles aux producteurs afin de réduire la pauvreté.
La présidente de IOCI a déploré l’absence de statistiques de production de l’oignon dans la zone de Korhogo.
"Les gens qui cultivent l’oignon, ne le pèsent pas et prennent pas les produits dans les cuvettes. Les produits sont écoulés sur le marchés sans être pesés", a-t-elle fait remarquer.
La président de l’Interprofession de l’oignon de Côte d’Ivoire a invité les ivoiriens à s’intéresser à la culture de l’oignon afin que la Côte d’Ivoire ne dépende plus des autres pays de la sous-région.
Cette journée des intrants et des semences de l’oignon, organisée en collaboration ProFIAB, vise à améliorer la connaissance des acteurs de la filière sur les intrants disponibles sur le marché pour une meilleure productivité de l’oignon.
Il s’est aussi agi de faciliter les relations entre producteurs et fournisseurs, de sensibiliser les acteurs sur les enjeux des intrants de qualité et de donner les informations sur les différentes variétés d’oignon adaptées aux différentes saisons.
La Côte d’Ivoire importe 95% de sa consommation d’oignon. Au nord du pays, l’oignon reste l’une des cultures phares, a-t-on appris.
(AIP)
Apk/kp