Le gouvernement ivoirien a décidé de la mise en œuvre d'un "3ème plan palmier" pour faire passer la production de 400 000 tonnes d'huile de palme brute actuellement à 600 000 tonnes en 2020 afin de répondre à ses propres besoins et à la forte demande dans la sous-région ouest-africaine.
L'annonce a été faite mardi par le directeur du Fonds d'extension et de renouvellement pour le développement de la culture du palmier à huile (Fer Palmier), Alexis Kemanhon.
"Le 3ème plan palmier vise à augmenter la production de plus de 50%, à lutter contre la paupérisation en milieu rural, à améliorer et à diversifier les revenus des planteurs villageois et à ouvrir de nouveaux pôles de développement dans les zones à fort potentiel", a déclaré M. Kemanhon devant la presse.
Le programme prévoit la création de 200 000 hectares de plantations sur 10 ans.
"Ces créations seront réalisées au rythme de 20 hectares de plantations par an", a précisé M. Kemanhon avant de souligner qu'il est prévu 41 500 hectares de "replantation" dans les zones où le verger a vieilli et 43 500 hectares de parcelles en "extension" dans les zones traditionnelles de culture.
"En outre, 115 000 hectares de créations sont prévues dans les nouvelles zones de culture", a-t-il ajouté.
Le palmier à huile est traditionnellement cultivé dans la partie sud de la zone forestière, d'Est en Ouest, mais il s'étend de plus en plus dans le Centre, le Centre-ouest, l'Ouest et l'Est.
Le "1er plan palmier" exécuté de 1962 à 1983 a permis de réaliser près de 80 000 hectares de palmier et le "2ème plan palmier" de 1985 à 1990 près de 70 000 hectares, sans compter les plantations créées dans le cadre d'autres programmes.
Le verger ivoirien couvre 250 000 hectares répartis entre les plantations industrielles (29%) et les plantations villageoises (71%).
La filière occupe près de deux millions de personnes avec 200 000 emplois réguliers et génère un chiffre d'affaires de 500 milliards de FCFA (un milliard de dollars américains).
La Côte d'Ivoire est le 2ème producteur africain de régimes de palme avec 1 800 000 tonnes par an derrière le Nigeria avec lequel elle assure l'essentiel des 4% de part de marché mondial fournit par l'Afrique.
L'annonce a été faite mardi par le directeur du Fonds d'extension et de renouvellement pour le développement de la culture du palmier à huile (Fer Palmier), Alexis Kemanhon.
"Le 3ème plan palmier vise à augmenter la production de plus de 50%, à lutter contre la paupérisation en milieu rural, à améliorer et à diversifier les revenus des planteurs villageois et à ouvrir de nouveaux pôles de développement dans les zones à fort potentiel", a déclaré M. Kemanhon devant la presse.
Le programme prévoit la création de 200 000 hectares de plantations sur 10 ans.
"Ces créations seront réalisées au rythme de 20 hectares de plantations par an", a précisé M. Kemanhon avant de souligner qu'il est prévu 41 500 hectares de "replantation" dans les zones où le verger a vieilli et 43 500 hectares de parcelles en "extension" dans les zones traditionnelles de culture.
"En outre, 115 000 hectares de créations sont prévues dans les nouvelles zones de culture", a-t-il ajouté.
Le palmier à huile est traditionnellement cultivé dans la partie sud de la zone forestière, d'Est en Ouest, mais il s'étend de plus en plus dans le Centre, le Centre-ouest, l'Ouest et l'Est.
Le "1er plan palmier" exécuté de 1962 à 1983 a permis de réaliser près de 80 000 hectares de palmier et le "2ème plan palmier" de 1985 à 1990 près de 70 000 hectares, sans compter les plantations créées dans le cadre d'autres programmes.
Le verger ivoirien couvre 250 000 hectares répartis entre les plantations industrielles (29%) et les plantations villageoises (71%).
La filière occupe près de deux millions de personnes avec 200 000 emplois réguliers et génère un chiffre d'affaires de 500 milliards de FCFA (un milliard de dollars américains).
La Côte d'Ivoire est le 2ème producteur africain de régimes de palme avec 1 800 000 tonnes par an derrière le Nigeria avec lequel elle assure l'essentiel des 4% de part de marché mondial fournit par l'Afrique.