Abidjan - L'armée nigériane a affirmé, mardi, avoir libéré 200 filles et 93 femmes dans un fief du groupe islamiste Boko Haram.
« Les troupes ont pris et détruit cet après-midi trois camps de terroristes dans la forêt de Sambisa », un des principaux repaires de Boko Haram, dans le nord-est du Nigeria », a déclaré Chris Olukolade, le porte-parole de l'armée, dans un communiqué, faisant référence à un district de l'Etat de Borno.
Toutefois, l’armée n’a pas précisé si certaines d'entre elles faisaient partie des 276 lycéennes enlevées à Chibok le 14 avril 2014, dont 57 avaient pu s’enfuir.
« Il n'est pour l'instant pas confirmé que les filles soient celles de Chibok. On vérifie l'identité des personnes libérées », a-t-il ajouté.
Selon Amnesty International, au moins 2 000 femmes et fillettes ont été enlevées au Nigeria depuis le début de l'année dernière.
Les Nations unies et des organisations de défense des droits humains ont aussi dénoncé le ciblage délibéré d'enfants, garçons et filles, par les islamistes, dont l'insurrection et la répression armée ont fait au moins 15 000 morts depuis six ans.
Plusieurs personnalités ont apporté leur soutien au mouvement Bring Back Our Girls (« Ramenez-nous nos filles »), dont Michelle Obama, la Première dame des Etats-Unis, et Malala, la jeune lauréate pakistanaise du prix Nobel de la paix.
cmas
« Les troupes ont pris et détruit cet après-midi trois camps de terroristes dans la forêt de Sambisa », un des principaux repaires de Boko Haram, dans le nord-est du Nigeria », a déclaré Chris Olukolade, le porte-parole de l'armée, dans un communiqué, faisant référence à un district de l'Etat de Borno.
Toutefois, l’armée n’a pas précisé si certaines d'entre elles faisaient partie des 276 lycéennes enlevées à Chibok le 14 avril 2014, dont 57 avaient pu s’enfuir.
« Il n'est pour l'instant pas confirmé que les filles soient celles de Chibok. On vérifie l'identité des personnes libérées », a-t-il ajouté.
Selon Amnesty International, au moins 2 000 femmes et fillettes ont été enlevées au Nigeria depuis le début de l'année dernière.
Les Nations unies et des organisations de défense des droits humains ont aussi dénoncé le ciblage délibéré d'enfants, garçons et filles, par les islamistes, dont l'insurrection et la répression armée ont fait au moins 15 000 morts depuis six ans.
Plusieurs personnalités ont apporté leur soutien au mouvement Bring Back Our Girls (« Ramenez-nous nos filles »), dont Michelle Obama, la Première dame des Etats-Unis, et Malala, la jeune lauréate pakistanaise du prix Nobel de la paix.
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