Abidjan – La ministre de la Communication, porte-parole adjoint du gouvernement, Me Affoussiata Bamba-Lamine, a estimé dimanche lors de la célébration de la journée internationale de la liberté de la presse, que les journalistes en Côte d’Ivoire sont libres d’exercer leur profession, sans restriction dans le mouvement, et sans exaction.
"Nous sommes aujourd’hui fiers, d’affirmer que les journalistes qui exercent leur métier sur notre sol, sont libres d’exercer leur profession, dans les règles de l’art, sans restriction dans le mouvement, sans menace ouverte ou voilée et sans exaction aucune", a-t-elle affirmée, faisant le point de la liberté de la presse en Afrique depuis son institution en 1993, par les Nations Unies.
Selon elle, c’est un petit progrès qu’il faut apprécier, à sa juste valeur sans occulter le fait que beaucoup reste à faire. "Nous convenons qu’en Côte d’Ivoire, tout n’est pas encore rose. Mais les choses avancent, lentement et sûrement", a-t-elle précisé.
La première responsable de la communication, a reconnu que des "médias d’information libres, pluralistes et indépendants sur toutes les plates-formes sont devenus incontournables dans la visibilité de la bonne gouvernance et de la transparence".
Me Bamba, a traduit la volonté du gouvernement d’œuvrer pour une presse libre et indépendante.
"Notre pays qui ambitionne légitimement de frapper à la porte du cercle vertueux des pays dits émergents, d’ici l’an 2020, met tout en œuvre pour créer, le plus rapidement possible, les conditions d’épanouissement d’une presse, véritablement professionnelle, libre et indépendante, espérant ainsi renforcer les fondements de la démocratie, de la bonne gouvernance et donc de la paix et de la sécurité pour tous", a-t-elle conclu.
Instituée en 1993, l’édition 2015 de la journée internationale de la presse a pour thème, "Laisser le journalisme prospérer". Elle a démarré par un cross populaire dans la commune de Cocody, et se poursuit lundi par une conférence.
(AIP)
kam
"Nous sommes aujourd’hui fiers, d’affirmer que les journalistes qui exercent leur métier sur notre sol, sont libres d’exercer leur profession, dans les règles de l’art, sans restriction dans le mouvement, sans menace ouverte ou voilée et sans exaction aucune", a-t-elle affirmée, faisant le point de la liberté de la presse en Afrique depuis son institution en 1993, par les Nations Unies.
Selon elle, c’est un petit progrès qu’il faut apprécier, à sa juste valeur sans occulter le fait que beaucoup reste à faire. "Nous convenons qu’en Côte d’Ivoire, tout n’est pas encore rose. Mais les choses avancent, lentement et sûrement", a-t-elle précisé.
La première responsable de la communication, a reconnu que des "médias d’information libres, pluralistes et indépendants sur toutes les plates-formes sont devenus incontournables dans la visibilité de la bonne gouvernance et de la transparence".
Me Bamba, a traduit la volonté du gouvernement d’œuvrer pour une presse libre et indépendante.
"Notre pays qui ambitionne légitimement de frapper à la porte du cercle vertueux des pays dits émergents, d’ici l’an 2020, met tout en œuvre pour créer, le plus rapidement possible, les conditions d’épanouissement d’une presse, véritablement professionnelle, libre et indépendante, espérant ainsi renforcer les fondements de la démocratie, de la bonne gouvernance et donc de la paix et de la sécurité pour tous", a-t-elle conclu.
Instituée en 1993, l’édition 2015 de la journée internationale de la presse a pour thème, "Laisser le journalisme prospérer". Elle a démarré par un cross populaire dans la commune de Cocody, et se poursuit lundi par une conférence.
(AIP)
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