Dieng Ousseynou l’ancien président de la fédération ivoirienne de football est décédé le vendredi 1er Mai 2015, Afrikipresse.fr a recueilli les réactions de René Diby, ancien ministre chargé des Sports et Abdoulaye Traoré dit Ben Badi, deux éléments clés de la victoire des Éléphants à Sénégal 92, tout comme le défunt.
René Diby :
«Je suis très bouleversé de savoir que l’un des illustres acteurs de la marche glorieuse des Éléphants, à Dakar, en la personne de Dieng Ousseynou, ex-président de la Fédération ivoirienne de football s’en est allé. Je vous avoue que je suis vraiment bouleversé par cette triste nouvelle. Je présente mes condoléances les plus attristées à toute sa famille, à son épouse particulièrement et même à sa famille politique parce qu’il fut également le Trésorier du PDCI. Ces temps-ci, on n’avait plus de nouvelle de lui, je me suis dit, tout comme moi, qu’il s’était lui-même mis à l’écart pour se reposer et voilà que la nouvelle tombe comme un couperet. C’est vraiment triste!»
Ben Badi :
«Je pense que c’est une triste nouvelle pour le football ivoirien parce que M. Dieng a toujours été un élément-clé du football de notre pays. Avant même de prendre la tête du football ivoirien, c’était un mécène du football ivoirien, notamment au niveau de l’Asec où il a investi assez d’argent. C’est plus tard qu’il s’est rendu disponible pour le football ivoirien. Il a d’ailleurs joué un rôle très important pour la première étoile du football ivoirien remportée à Sénégal 92. Puis, il faut dire que grâce à la politique du football qu’il avait mise en place, les stades étaient toujours bondés lors des matches de championnat. C’est donc grâce à lui que le football ivoirien a réellement pris son envol ! »
Ahmadou Diakité (Membre du Comité Exécutif de la CAF) :
«Il était un collègue mais surtout un ami avec qui j’ai travaillé en bonne intelligence. Nous avions de bons rapports, ce qui fait qu’à chacun de mes passages à Abidjan, je lui rendais visite. C’est un grand dirigeant du football africain qui s’en va. La Côte d’Ivoire lui doit sa première CAN. Je présente mes condoléances à sa famille et au football ivoirien. Que la terre lui soit légère ».
Willy Candé (Journaliste sportif à la RTNC-RDC):
«Mon premier contact avec lui m’a permis de comprendre que l’homme aimait le football. Lors des rencontres entre la Côte d’Ivoire et la RD Congo, je le sentais vouloir la victoire à tout prix. Il a servi à sa manière le football de son pays en lui offrant sa première CAN. Dommage pour le football de ce pays. Je suis d’autant plus peiné que je ne sais quoi dire. Mes condoléances à la FIF ».
Baba Cissouma (Journaliste Sportif-Mali):
« J’avais beaucoup de sympathie pour le président Dieng que je connais bien. Nous nous entendions parfaitement. Dieng était un gentleman. Il avait beaucoup de respect pour la presse sportive et était très humble. C’est ce qui faisait sa force. Il était un travailleur dans la discrétion. Je prie pour le repos de son âme ».
Sory Diabaté (1er Vice-président de la FIF) :
«Je rends un grand hommage à un serviteur du football ivoirien. Il a remporté le premier trophée africain avec la Côte d’Ivoire. Il a formé des hommes qui continuent de servir le football ivoirien. Dommage qu’il parte au moment où nous célébrons notre deuxième sacre continental. Mes sincères condoléances à sa famille, son épouse et à la grande famille du football ivoirien ».
Karim Diabagaté (Président du Sabé Sport et ancien président de la Conférence des présidents de Clubs de Football) :
« Dieng est mort ? Je n’en crois pas. Je suis sous le choc car cette nouvelle me dépasse. Je ne sais quoi dire car l’homme et moi étions des frères. Condoléances à sa famille. Pour le moment c’est ce que je peux dire ».
Sinko Zeli (Ancien arbitre international et membre de la Commission Centrale des Arbitres de la CAF) :
«Dieng Ousseynou était un homme ouvert. Il nous a beaucoup témoigné de son affection. Il aimait particulièrement les arbitres même si la FIF à l’époque n’avait pas de gros moyens. Il s’arrangeait de sorte que les arbitres ne soient pas mécontents de la FIF. Nous avons passé de grands moments ensemble. C’est avec lui que j’ai connu ma première grande aventure africaine qui est la CAN 92 au Sénégal. Il a remporté la première CAN donc il est le bonheur du football ivoirien. Que son âme repose en paix ».
Roger Okou Vabé (Journaliste sportif-Côte d’Ivoire) :
«Qu’on l’ait aimé ou pas, Dieng Ousseynou a été un personnage important du football ivoirien. Il a tout donné au football en général. Sa mort constitue une grosse perte pour le football ivoirien parce que de son vivant il pouvait toujours apporter son expérience. Mes condoléances les plus émues à sa famille».
Source : afrikipresse.fr
René Diby :
«Je suis très bouleversé de savoir que l’un des illustres acteurs de la marche glorieuse des Éléphants, à Dakar, en la personne de Dieng Ousseynou, ex-président de la Fédération ivoirienne de football s’en est allé. Je vous avoue que je suis vraiment bouleversé par cette triste nouvelle. Je présente mes condoléances les plus attristées à toute sa famille, à son épouse particulièrement et même à sa famille politique parce qu’il fut également le Trésorier du PDCI. Ces temps-ci, on n’avait plus de nouvelle de lui, je me suis dit, tout comme moi, qu’il s’était lui-même mis à l’écart pour se reposer et voilà que la nouvelle tombe comme un couperet. C’est vraiment triste!»
Ben Badi :
«Je pense que c’est une triste nouvelle pour le football ivoirien parce que M. Dieng a toujours été un élément-clé du football de notre pays. Avant même de prendre la tête du football ivoirien, c’était un mécène du football ivoirien, notamment au niveau de l’Asec où il a investi assez d’argent. C’est plus tard qu’il s’est rendu disponible pour le football ivoirien. Il a d’ailleurs joué un rôle très important pour la première étoile du football ivoirien remportée à Sénégal 92. Puis, il faut dire que grâce à la politique du football qu’il avait mise en place, les stades étaient toujours bondés lors des matches de championnat. C’est donc grâce à lui que le football ivoirien a réellement pris son envol ! »
Ahmadou Diakité (Membre du Comité Exécutif de la CAF) :
«Il était un collègue mais surtout un ami avec qui j’ai travaillé en bonne intelligence. Nous avions de bons rapports, ce qui fait qu’à chacun de mes passages à Abidjan, je lui rendais visite. C’est un grand dirigeant du football africain qui s’en va. La Côte d’Ivoire lui doit sa première CAN. Je présente mes condoléances à sa famille et au football ivoirien. Que la terre lui soit légère ».
Willy Candé (Journaliste sportif à la RTNC-RDC):
«Mon premier contact avec lui m’a permis de comprendre que l’homme aimait le football. Lors des rencontres entre la Côte d’Ivoire et la RD Congo, je le sentais vouloir la victoire à tout prix. Il a servi à sa manière le football de son pays en lui offrant sa première CAN. Dommage pour le football de ce pays. Je suis d’autant plus peiné que je ne sais quoi dire. Mes condoléances à la FIF ».
Baba Cissouma (Journaliste Sportif-Mali):
« J’avais beaucoup de sympathie pour le président Dieng que je connais bien. Nous nous entendions parfaitement. Dieng était un gentleman. Il avait beaucoup de respect pour la presse sportive et était très humble. C’est ce qui faisait sa force. Il était un travailleur dans la discrétion. Je prie pour le repos de son âme ».
Sory Diabaté (1er Vice-président de la FIF) :
«Je rends un grand hommage à un serviteur du football ivoirien. Il a remporté le premier trophée africain avec la Côte d’Ivoire. Il a formé des hommes qui continuent de servir le football ivoirien. Dommage qu’il parte au moment où nous célébrons notre deuxième sacre continental. Mes sincères condoléances à sa famille, son épouse et à la grande famille du football ivoirien ».
Karim Diabagaté (Président du Sabé Sport et ancien président de la Conférence des présidents de Clubs de Football) :
« Dieng est mort ? Je n’en crois pas. Je suis sous le choc car cette nouvelle me dépasse. Je ne sais quoi dire car l’homme et moi étions des frères. Condoléances à sa famille. Pour le moment c’est ce que je peux dire ».
Sinko Zeli (Ancien arbitre international et membre de la Commission Centrale des Arbitres de la CAF) :
«Dieng Ousseynou était un homme ouvert. Il nous a beaucoup témoigné de son affection. Il aimait particulièrement les arbitres même si la FIF à l’époque n’avait pas de gros moyens. Il s’arrangeait de sorte que les arbitres ne soient pas mécontents de la FIF. Nous avons passé de grands moments ensemble. C’est avec lui que j’ai connu ma première grande aventure africaine qui est la CAN 92 au Sénégal. Il a remporté la première CAN donc il est le bonheur du football ivoirien. Que son âme repose en paix ».
Roger Okou Vabé (Journaliste sportif-Côte d’Ivoire) :
«Qu’on l’ait aimé ou pas, Dieng Ousseynou a été un personnage important du football ivoirien. Il a tout donné au football en général. Sa mort constitue une grosse perte pour le football ivoirien parce que de son vivant il pouvait toujours apporter son expérience. Mes condoléances les plus émues à sa famille».
Source : afrikipresse.fr