Vavoua - Le chef du village de Déma (une localité de la commune de Vavoua), Inéka Gilbert, a échappé à une deuxième agression physique des manifestants de sa localité grâce à la prompte intervention du Commissaire Fousséni Koné et ses hommes qui ont réussi à l’exfiltrer, a constaté l’AIP.
Le chef Inéka est réfugié depuis samedi dans la ville de Vavoua en attendant la fin de la médiation des autorités administratives qui doit débuter ce mardi. Cependant, certains partisans du président sortant des jeunes, Dobo Abraham rencontrés par l’AIP, ont exprimé leur volonté de reprendre les manifestations pour dénoncer l’attitude partisane du chef Inéka.
A propos de la démission du chef réclamée par des manifestants, le préfet par intérim Déhoulé N’Guessan Augustin a affirmé son soutien au chef Inéka, expliquant qu’il « ne voit aucune faute majeure l’autorisant à remettre en cause l’arrêté de nomination de son collaborateur dans cette affaire ». Aussi, a-t-il demandé au sous-préfet central de régler le problème de communication qui est la cause de ce soulèvement populaire.
Depuis vendredi, les violences nées de l’élection du président des jeunes de Déma ont fait à présent six blessés et d’importants dégâts matériels. Les partisans du président sortant des jeunes, Dobo Abraham reprochent au chef Inéka de vouloir imposer un président de jeunesse à ce village, rappelle-t-on.
sk/fmo/akn/ask
Le chef Inéka est réfugié depuis samedi dans la ville de Vavoua en attendant la fin de la médiation des autorités administratives qui doit débuter ce mardi. Cependant, certains partisans du président sortant des jeunes, Dobo Abraham rencontrés par l’AIP, ont exprimé leur volonté de reprendre les manifestations pour dénoncer l’attitude partisane du chef Inéka.
A propos de la démission du chef réclamée par des manifestants, le préfet par intérim Déhoulé N’Guessan Augustin a affirmé son soutien au chef Inéka, expliquant qu’il « ne voit aucune faute majeure l’autorisant à remettre en cause l’arrêté de nomination de son collaborateur dans cette affaire ». Aussi, a-t-il demandé au sous-préfet central de régler le problème de communication qui est la cause de ce soulèvement populaire.
Depuis vendredi, les violences nées de l’élection du président des jeunes de Déma ont fait à présent six blessés et d’importants dégâts matériels. Les partisans du président sortant des jeunes, Dobo Abraham reprochent au chef Inéka de vouloir imposer un président de jeunesse à ce village, rappelle-t-on.
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