Abidjan (Côte d’Ivoire) - Les anciens ministres Sébastien Djédjé Dano et Hubert Oulaye ainsi que Justin Koua, placés sous mandat de dépôt, ont été transférés, mardi, respectivement dans les prisons de Dabou (Banlieue Ouest d’Abidjan), Toumodi (Centre) et Bouaké (Centre-Nord).
Selon Franck Anderson Kouassi, du secrétariat national de la communication du Front populaire ivoirien (FPI) tendance Abou Drahamane Sangaré, ces cadres du parti de l’ancien Chef de l’Etat Laurent Gbagbo ont été présentés, mardi, à un juge d’instruction.
Ils ont été interpellés tôt, lundi matin, pour "troubles à l’ordre public et défiance à l’autorité de l’Etat". Ces trois cadres du FPI, des organisateurs d’un congrès, jeudi, à Mama (Centre-ouest ) village natal de Laurent Gbagbo, sont poursuivis pour "troubles à l’ordre du public et défiance de l’autorité de l’Etat". Ils ont désigné à cette occasion Laurent Gbagbo comme "président" du FPI.
Depuis novembre 2014, deux camps s’affrontent au FPI pour le contrôle du parti. L’un incarné par le président statutaire Pascal Affi N’guessan, reconnu par les autorités ivoiriennes et l’autre conduite par Abou Drahamane Sangaré "interdit d’utiliser le logo, le nom du FPI’’ par une décision de justice.
LS/APA
Selon Franck Anderson Kouassi, du secrétariat national de la communication du Front populaire ivoirien (FPI) tendance Abou Drahamane Sangaré, ces cadres du parti de l’ancien Chef de l’Etat Laurent Gbagbo ont été présentés, mardi, à un juge d’instruction.
Ils ont été interpellés tôt, lundi matin, pour "troubles à l’ordre public et défiance à l’autorité de l’Etat". Ces trois cadres du FPI, des organisateurs d’un congrès, jeudi, à Mama (Centre-ouest ) village natal de Laurent Gbagbo, sont poursuivis pour "troubles à l’ordre du public et défiance de l’autorité de l’Etat". Ils ont désigné à cette occasion Laurent Gbagbo comme "président" du FPI.
Depuis novembre 2014, deux camps s’affrontent au FPI pour le contrôle du parti. L’un incarné par le président statutaire Pascal Affi N’guessan, reconnu par les autorités ivoiriennes et l’autre conduite par Abou Drahamane Sangaré "interdit d’utiliser le logo, le nom du FPI’’ par une décision de justice.
LS/APA