Moussa Dadis Camara, ex-chef de la junte militaire qui a pris le pouvoir, le 22 décembre 2008, au lendemain de la disparition du général Lansana Conté, enlève son uniforme contre le costume politique. Le capitaine Dadis Camara devient désormais le président du parti, les forces patriotiques pour la démocratie et le développement (FPDD).
Depuis quelques semaines, les rumeurs faisant état de son arrivée en politique courraient dans la capitale guinéenne, surtout qu'il avait écrit aux autorités pour annoncer sa démission de l'Armée.
C’est désormais chose faite. L’ancien président du CNDD (Conseil national pour la démocratie et le développement) est devenu président des forces patriotiques pour la démocratie et le développement.
Dadis Camara a dirigé le pays du 23 décembre 2008 au 3 décembre 2009, date à laquelle il a échappé à une tentative d’assassinat perpétré par son aide de camp Boubacar ‘’Toumba’’ Diakité, qui lui a tiré une balle à la tête.
Cet incident était intervenu deux mois après les événements tragiques du 28 septembre 2009 dans un stade de Conakry, où plus de 150 personnes ont trouvé la mort, avec des milliers des femmes violées et des centaines de disparus.
Suite à cet attentat, l’ex-homme fort de la Guinée s’est vu écarté du pouvoir.
Il est depuis en convalescence au Burkina Faso , après avoir reçu des soins intensifs durant quelques semaines dans un hôpital du royaume chérifien du Maroc.
Source : afrikipresse.fr
Depuis quelques semaines, les rumeurs faisant état de son arrivée en politique courraient dans la capitale guinéenne, surtout qu'il avait écrit aux autorités pour annoncer sa démission de l'Armée.
C’est désormais chose faite. L’ancien président du CNDD (Conseil national pour la démocratie et le développement) est devenu président des forces patriotiques pour la démocratie et le développement.
Dadis Camara a dirigé le pays du 23 décembre 2008 au 3 décembre 2009, date à laquelle il a échappé à une tentative d’assassinat perpétré par son aide de camp Boubacar ‘’Toumba’’ Diakité, qui lui a tiré une balle à la tête.
Cet incident était intervenu deux mois après les événements tragiques du 28 septembre 2009 dans un stade de Conakry, où plus de 150 personnes ont trouvé la mort, avec des milliers des femmes violées et des centaines de disparus.
Suite à cet attentat, l’ex-homme fort de la Guinée s’est vu écarté du pouvoir.
Il est depuis en convalescence au Burkina Faso , après avoir reçu des soins intensifs durant quelques semaines dans un hôpital du royaume chérifien du Maroc.
Source : afrikipresse.fr
