Les investissements britanniques "vont beaucoup augmenter" en Côte d’Ivoire, a estimé lors du passage à Abidjan, fin avril, d’une mission économique britannique de haut niveau, James McKay, business développer à DMA, structure ayant initié cette mission, en partenariat avec l’ambassade de Côte d’Ivoire à Londres.
"Je pense que la Côte d’Ivoire bénéficiera de beaucoup plus d’investissements britanniques. Les Royaumes unies sont déjà le deuxième grand investisseur européen en Côte d’Ivoire après la France. Je pense que les investissements vont beaucoup augmenter", a confié M. McKay à l’AIP, lors d’un entretien en marge de cette mission économique qui comprenait des représentants des "grandes entreprises britanniques de tous les secteurs clés".
Ces entreprises qui font un capital global estimé entre 7 et 8 milliards de dollars sont issues des secteurs des finances, de la banque, de l’énergie, de l’agriculture et des services professionnels.
"Il y a déjà des programmes d’investissement dans le secteur pharmaceutique ; des partenariats ont même été discutés. Il y a aussi un projet dans le secteur du palmier, mais ils y a d’autres investissements aussi", indique James McKay, signalant que toute la trentaine de délégués étaient satisfaits de la mission. "Tous ont été impressionnés par la facilité de faire des affaires avec la Côte d’Ivoire, de même que le niveau d’engagement très fort des partenaires locaux et du gouvernement", a-t-il dit.
Lors de cette mission, les investisseurs britannique ont rencontré le président ivoirien, Alassane Ouattara, et ont eu des séances de travail avec des ministres dont celui de l’Energie et du Pétrole, Adama Toungara. Ils ont aussi rencontré plusieurs organisations et administrations, comme le Centre de promotion de l’investissement en Côte d’Ivoire (CEPICI).
akn/tm
"Je pense que la Côte d’Ivoire bénéficiera de beaucoup plus d’investissements britanniques. Les Royaumes unies sont déjà le deuxième grand investisseur européen en Côte d’Ivoire après la France. Je pense que les investissements vont beaucoup augmenter", a confié M. McKay à l’AIP, lors d’un entretien en marge de cette mission économique qui comprenait des représentants des "grandes entreprises britanniques de tous les secteurs clés".
Ces entreprises qui font un capital global estimé entre 7 et 8 milliards de dollars sont issues des secteurs des finances, de la banque, de l’énergie, de l’agriculture et des services professionnels.
"Il y a déjà des programmes d’investissement dans le secteur pharmaceutique ; des partenariats ont même été discutés. Il y a aussi un projet dans le secteur du palmier, mais ils y a d’autres investissements aussi", indique James McKay, signalant que toute la trentaine de délégués étaient satisfaits de la mission. "Tous ont été impressionnés par la facilité de faire des affaires avec la Côte d’Ivoire, de même que le niveau d’engagement très fort des partenaires locaux et du gouvernement", a-t-il dit.
Lors de cette mission, les investisseurs britannique ont rencontré le président ivoirien, Alassane Ouattara, et ont eu des séances de travail avec des ministres dont celui de l’Energie et du Pétrole, Adama Toungara. Ils ont aussi rencontré plusieurs organisations et administrations, comme le Centre de promotion de l’investissement en Côte d’Ivoire (CEPICI).
akn/tm