Korhogo – Les populations de l'union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), à travers des initiatives, ont décidé d’aller à l’intégration, selon Boureima Ouédraogo, chargé de communication de Labo Citoyennetés, au terme de deux jours de travaux sur un atelier relatif à la libre circulation des personnes et des biens dans l’espace CEDEAO–UEMOA.
"On a noté que malgré tout ces difficultés rencontrées, les populations Ouest-africaines de Korhogo, Sikasso et Bobo-Dioulasso, forment un ensemble historique qui ne se laissent pas limiter par les frontières artificielles héritées de la colonisation. Les gens vaquent à leur occupations et essayent d’aller à la rencontre des services publics dans le pays ou ils espèrent avoir le meilleur accès possible", a déclaré vendredi, M. Ouedraogo.
Le thème de l'atelier "état des lieux de l’accès transfrontalier aux services publics de bases et de la libre circulation des personnes et des biens dans les régions de la Bagoué du Tchologo et du Poro" avait pour but d’informer, de sensibiliser les acteurs locaux frontaliers sur les problématiques, les enjeux et les défis de la coopération transfrontalière dans le processus d’intégration, de constituer un répertoire des acteurs et des initiatives en matière de coopérations transfrontalière, de libre circulation des personnes et des biens ainsi qu’en matière d’accès transfrontalier aux services sociaux de base.
A la clôture de l'atelier, le directeur général du Laboratoire des sciences Sociales et des Oragnisations (LASSO) , M. Koné a fait savoir que des financements existent pour beaucoup de projets, mais qu'il faut aller au niveau transfrontalier pour en bénéficier facilement.
Il a indiqué qu’en juin, Il s’agira pour le LASSO et le Labo Citoyennetés de rencontrer des organisations de la société civile et de les aider à mieux ficeler leurs projets, afin qu'ils soient bancable avant la fin de l’année.
Les organisations de la société civile de la Côte d’Ivoire, du Burkina Faso et du Mali entretiennent des relations formelles entre elles pour améliorer la circulation des personnes et des biens et de la production du service public de base.
(AIP)
apk/ask
"On a noté que malgré tout ces difficultés rencontrées, les populations Ouest-africaines de Korhogo, Sikasso et Bobo-Dioulasso, forment un ensemble historique qui ne se laissent pas limiter par les frontières artificielles héritées de la colonisation. Les gens vaquent à leur occupations et essayent d’aller à la rencontre des services publics dans le pays ou ils espèrent avoir le meilleur accès possible", a déclaré vendredi, M. Ouedraogo.
Le thème de l'atelier "état des lieux de l’accès transfrontalier aux services publics de bases et de la libre circulation des personnes et des biens dans les régions de la Bagoué du Tchologo et du Poro" avait pour but d’informer, de sensibiliser les acteurs locaux frontaliers sur les problématiques, les enjeux et les défis de la coopération transfrontalière dans le processus d’intégration, de constituer un répertoire des acteurs et des initiatives en matière de coopérations transfrontalière, de libre circulation des personnes et des biens ainsi qu’en matière d’accès transfrontalier aux services sociaux de base.
A la clôture de l'atelier, le directeur général du Laboratoire des sciences Sociales et des Oragnisations (LASSO) , M. Koné a fait savoir que des financements existent pour beaucoup de projets, mais qu'il faut aller au niveau transfrontalier pour en bénéficier facilement.
Il a indiqué qu’en juin, Il s’agira pour le LASSO et le Labo Citoyennetés de rencontrer des organisations de la société civile et de les aider à mieux ficeler leurs projets, afin qu'ils soient bancable avant la fin de l’année.
Les organisations de la société civile de la Côte d’Ivoire, du Burkina Faso et du Mali entretiennent des relations formelles entre elles pour améliorer la circulation des personnes et des biens et de la production du service public de base.
(AIP)
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