Korhogo - La mangue séchée est un marché de 20.000 tonnes à pourvoir, selon le directeur du département des cultures d’exportation et de production forestière au Fond interprofessionnel pour la recherche et le conseil agricole (FIRCA), N'Diaye Oumar, qui l'a révélé lors de l’inauguration par le ministre de l’agriculture, d’un séchoir de mangue à la coopérative Gninnangnon de Korhogo.
"La mangue séchée, le marché, aujourd’hui, c’est 20000 tonne que le marché demande et toute les sources de production de mangue au monde ne peut produire que 12000 Tonnes", a révélé M. N’diaye qui ajoute que ces mangues séchées sont prisées dans les pays arabes et en Europe du nord.
L’installation d'une unité de transformation, à Korhogo, de la mangue fraîche qui est très périssable, permet ainsi de réduire les pertes post-récoltes et d'augmenter le revenu des producteurs, a-t-il souligné.
Le FIRCA a noué un partenariat avec une firme sud-africaine "Dryer for Africa" leader en matière de mangues séchées. Ce partenaire sud africain n'arrive pas à satisfaire sa cientèle au Canada, en Australie et en Amérique Latine, a affirmé M N’Diaye. Il s’est donc engagé cette année, à acheter 100% de la production de mangue séchée en Côte d’Ivoire.
L’installation d’une unité de séchage de mangue de dernière génération qui est écologique à Korhogo permettra à la coopérative d’avoir accès au marché extérieur de la mangue séchée. C’est donc 1, 8 tonnes de mangues sèches qui sera produit toutes les 18 heures, a précisé le directeur du département des cultures d’exportation et production forestière du FIRCA.
Ce séchoir peut également sécher d’autres produits agricoles notamment la noix de cajou ou la pomme de cajou, l’aubergine, l’igname, la tomate, la papaye, la viande et le poisson.
La mangue est un complément alimentaire de premier choix pour les sportifs et pour les enfants également. La Côte d’Ivoire produit 180.000 tonne de mangues fraîches et en exporte 10.000 tonnes. Les pertes oscillent entre 30% et 40 %.
Trois séchoirs ont été acquis et installés dans trois coopératives à Korhogo, Ferké et Boundiali grâce à un projet pilote de séchage de la mangue sur financement du Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest (PPAAO / WAAPP) et la Banque Mondiale.
(AIP)
apk/ask
"La mangue séchée, le marché, aujourd’hui, c’est 20000 tonne que le marché demande et toute les sources de production de mangue au monde ne peut produire que 12000 Tonnes", a révélé M. N’diaye qui ajoute que ces mangues séchées sont prisées dans les pays arabes et en Europe du nord.
L’installation d'une unité de transformation, à Korhogo, de la mangue fraîche qui est très périssable, permet ainsi de réduire les pertes post-récoltes et d'augmenter le revenu des producteurs, a-t-il souligné.
Le FIRCA a noué un partenariat avec une firme sud-africaine "Dryer for Africa" leader en matière de mangues séchées. Ce partenaire sud africain n'arrive pas à satisfaire sa cientèle au Canada, en Australie et en Amérique Latine, a affirmé M N’Diaye. Il s’est donc engagé cette année, à acheter 100% de la production de mangue séchée en Côte d’Ivoire.
L’installation d’une unité de séchage de mangue de dernière génération qui est écologique à Korhogo permettra à la coopérative d’avoir accès au marché extérieur de la mangue séchée. C’est donc 1, 8 tonnes de mangues sèches qui sera produit toutes les 18 heures, a précisé le directeur du département des cultures d’exportation et production forestière du FIRCA.
Ce séchoir peut également sécher d’autres produits agricoles notamment la noix de cajou ou la pomme de cajou, l’aubergine, l’igname, la tomate, la papaye, la viande et le poisson.
La mangue est un complément alimentaire de premier choix pour les sportifs et pour les enfants également. La Côte d’Ivoire produit 180.000 tonne de mangues fraîches et en exporte 10.000 tonnes. Les pertes oscillent entre 30% et 40 %.
Trois séchoirs ont été acquis et installés dans trois coopératives à Korhogo, Ferké et Boundiali grâce à un projet pilote de séchage de la mangue sur financement du Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest (PPAAO / WAAPP) et la Banque Mondiale.
(AIP)
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