Dimbokro – Le directeur du programme national de lutte contre les maladies non transmissibles (PNLMNT), Dr Doua Kouamelan relève que l'on peut prévenir l’hypertension artérielle, une maladie qui, selon lui, "ne se guérit pas".
Cette prévention porte sur la pratique du sport, la consommation d’eau plate à température ambiante, une bonne hygiène alimentaire et de vie et des prises régulières de tension par un agent du corps médical, a rappelé Dr Doua, lors d’une conférence publique sur l’hypertension artérielle , vendredi, dans le cadre de la célébration nationale de la journée mondiale de lutte contre les maladies non transmissibles à Dimbokro.
"Celui qui vous dit qu’il guérit ou peut guérir l’hypertension artérielle vous ment. L’hypertension artérielle ne se guérit pas. Même sous traitement, des dommages sont possibles... Mais elle se stabilise par des soins appropriés réguliers et la pratique d’une activité physique à travers le sport", a-t-il ajouté.
Dr Doua a indiqué que la tension artérielle se mesure à travers deux chiffres. La première valeur de chiffres résulte de la contraction cardiaque, la seconde de la pression artérielle systolique… "La tension artérielle normale doit être inférieure à 14,9", a-t-il indiqué.
Selon lui, les signes de ce mal sont multiples dont des maux de tête au réveil, des palpitations élevées, des bourdonnements dans les oreilles, des troubles visuels, le vertige, l’essoufflement au moindre effort...
Cette pathologie a des conséquences importantes pouvant causer des dommages au niveau du cœur qui grossit du côté gauche et devient moins performant (insuffisance cardiaque); une angine de poitrine, des troubles de vision pouvant conduire à la perte de la vue, l’insuffisance rénale ; etc.
Les facteurs pouvant entraîner cette maladie sont, entre autres l’hérédité, le sexe (les hommes peuvent la contracter après 60 ans, les femmes après la ménopause), les comportements et modes de vie notamment la consommation de bonbons mentholés contenant de la réglisse, la prise de certains médicaments (corticoïdes, anti-inflammatoires), les excès de sel dans les aliments (plus de 5 grammes) mais aussi de graisse et d’alcool, l’obésité, la sédentarité physique, selon Dr Doua.
(AIP)
Zgrp/akn/ask
Cette prévention porte sur la pratique du sport, la consommation d’eau plate à température ambiante, une bonne hygiène alimentaire et de vie et des prises régulières de tension par un agent du corps médical, a rappelé Dr Doua, lors d’une conférence publique sur l’hypertension artérielle , vendredi, dans le cadre de la célébration nationale de la journée mondiale de lutte contre les maladies non transmissibles à Dimbokro.
"Celui qui vous dit qu’il guérit ou peut guérir l’hypertension artérielle vous ment. L’hypertension artérielle ne se guérit pas. Même sous traitement, des dommages sont possibles... Mais elle se stabilise par des soins appropriés réguliers et la pratique d’une activité physique à travers le sport", a-t-il ajouté.
Dr Doua a indiqué que la tension artérielle se mesure à travers deux chiffres. La première valeur de chiffres résulte de la contraction cardiaque, la seconde de la pression artérielle systolique… "La tension artérielle normale doit être inférieure à 14,9", a-t-il indiqué.
Selon lui, les signes de ce mal sont multiples dont des maux de tête au réveil, des palpitations élevées, des bourdonnements dans les oreilles, des troubles visuels, le vertige, l’essoufflement au moindre effort...
Cette pathologie a des conséquences importantes pouvant causer des dommages au niveau du cœur qui grossit du côté gauche et devient moins performant (insuffisance cardiaque); une angine de poitrine, des troubles de vision pouvant conduire à la perte de la vue, l’insuffisance rénale ; etc.
Les facteurs pouvant entraîner cette maladie sont, entre autres l’hérédité, le sexe (les hommes peuvent la contracter après 60 ans, les femmes après la ménopause), les comportements et modes de vie notamment la consommation de bonbons mentholés contenant de la réglisse, la prise de certains médicaments (corticoïdes, anti-inflammatoires), les excès de sel dans les aliments (plus de 5 grammes) mais aussi de graisse et d’alcool, l’obésité, la sédentarité physique, selon Dr Doua.
(AIP)
Zgrp/akn/ask
