Bouaké, la capitale du centre est une ville où les jeunes filles s’adonnent de plus en plus à la prostitution.
A la tombée de la nuit, le quartier des affaires devient un lieu où a cours des pratiques immorales. Ici, drogue, alcool, et prostitution ont pignon sur rue. Le comble, les garçons et filles mineurs fréquentent également ce lieu, au vu et au su de tous. Les adolescentes, qui sont les plus nombreuses, écument les abords des maquis ou restaurants, attirant les coureurs de jupons. Ces belles de nuit sont appelées communément ‘’balles’’ par leurs clients. Pour passer la nuit avec une balle, il suffit simplement de partager avec elle un pot ou un repas dans un maquis environnant. La partie peut bien se terminer dans une chambres d’hôtel, à condition de payer 2000 Fcfa la passe ou 5000 Fcfa la nuitée. A côté de celles-ci, existe une autre catégorie de professionnelles de sexes, généralement appelées ‘’go choco’’. Leurs zones de prédilection, ce sont les bars et boîtes de nuit. Avec elles, le client devra faire montre de générosité en payant des boissons fortes, au risque de se voir abandonner au profit du plus offrant. Un billet de 5000 Fcfa peut facilement permettre au client de conclure la partie dans une chambre d’hôtel.
Comment procèdent-elles?
Ces filles ont leur stratagème pour aguicher la clientèle. A la tombée de la nuit, les périmètres des grands maquis, bars et restaurants se bondent de monde. Les professionnelles du sexe choisissent ce moment de prédilection pour entrer en scène. Habillées de manière sexy, elles attirent tous les regards. Ces péripatéticiennes ne résistent guère au sifflement du premier homme en vue. Pour le moindre geste, elles marquent un arrêt. «Vous voyez ces filles, pour 2000 ou 5000 F, elles sont prêtes à tout », explique un tenancier de maquis. Ajoutant que, souvent ne sachant où passer la nuit, elles préfèrent coucher avec n’importe qui. «Avant-hier, une de ces filles avait demandé à dormir dans notre maquis, ma grand-sœur a refusé, parce que, parmi elles, il y en a qui volent tout sur leur passage », confie toujours le gérant. Les appâts de ces filles, confie notre interlocuteur, sont généralement les personnes à bord d’une voiture. Dans l’arrière-cour de la Radio-télévision ivoirienne (Rti) Bouaké, il se trouve une horde de filles à l’affût d’un mâle prêt à leur faire une proposition indécente
Une prostituée qui s’est confiée à nous, dit gagner 70.000 F par semaine, en exerçant le plus vieux métier du monde. A l’en croire, son père aurait été abattu aux heures chaudes de la crise-militaro politique de 2010. Elle ajoute que leurs clients viennent de divers horizons. « Je suis en séminaire à Bouaké. Etant logé dans un hôtel de luxe, la climatisation devenant insupportable, j’ai décidé de rentrer en contact avec une jeune fille pour passer la nuit ensemble » a témoigné un client, visiblement préoccupé, venu de Daloa. Un autre client habitant de la ville, dira qu’il préfère dormir chaque soir avec une professionnelle du sexe que de subir les caprices d’une quelconque jeune fille qui pourrait lui imposer des dépenses imprévues. D’autres travailleurs se soulagent avec ces filles parce qu’ils n’ont pas leurs conjointes à côté d’eux. Des jeunes gens fréquentent également ces lieux de perversion pour disent-ils mettre en pratique, ce qu’ils ont souvent vu dans les films pornographiques
Tuo Tchang à Bouaké, collaboration Fatogoman Ouattara
A la tombée de la nuit, le quartier des affaires devient un lieu où a cours des pratiques immorales. Ici, drogue, alcool, et prostitution ont pignon sur rue. Le comble, les garçons et filles mineurs fréquentent également ce lieu, au vu et au su de tous. Les adolescentes, qui sont les plus nombreuses, écument les abords des maquis ou restaurants, attirant les coureurs de jupons. Ces belles de nuit sont appelées communément ‘’balles’’ par leurs clients. Pour passer la nuit avec une balle, il suffit simplement de partager avec elle un pot ou un repas dans un maquis environnant. La partie peut bien se terminer dans une chambres d’hôtel, à condition de payer 2000 Fcfa la passe ou 5000 Fcfa la nuitée. A côté de celles-ci, existe une autre catégorie de professionnelles de sexes, généralement appelées ‘’go choco’’. Leurs zones de prédilection, ce sont les bars et boîtes de nuit. Avec elles, le client devra faire montre de générosité en payant des boissons fortes, au risque de se voir abandonner au profit du plus offrant. Un billet de 5000 Fcfa peut facilement permettre au client de conclure la partie dans une chambre d’hôtel.
Comment procèdent-elles?
Ces filles ont leur stratagème pour aguicher la clientèle. A la tombée de la nuit, les périmètres des grands maquis, bars et restaurants se bondent de monde. Les professionnelles du sexe choisissent ce moment de prédilection pour entrer en scène. Habillées de manière sexy, elles attirent tous les regards. Ces péripatéticiennes ne résistent guère au sifflement du premier homme en vue. Pour le moindre geste, elles marquent un arrêt. «Vous voyez ces filles, pour 2000 ou 5000 F, elles sont prêtes à tout », explique un tenancier de maquis. Ajoutant que, souvent ne sachant où passer la nuit, elles préfèrent coucher avec n’importe qui. «Avant-hier, une de ces filles avait demandé à dormir dans notre maquis, ma grand-sœur a refusé, parce que, parmi elles, il y en a qui volent tout sur leur passage », confie toujours le gérant. Les appâts de ces filles, confie notre interlocuteur, sont généralement les personnes à bord d’une voiture. Dans l’arrière-cour de la Radio-télévision ivoirienne (Rti) Bouaké, il se trouve une horde de filles à l’affût d’un mâle prêt à leur faire une proposition indécente
Une prostituée qui s’est confiée à nous, dit gagner 70.000 F par semaine, en exerçant le plus vieux métier du monde. A l’en croire, son père aurait été abattu aux heures chaudes de la crise-militaro politique de 2010. Elle ajoute que leurs clients viennent de divers horizons. « Je suis en séminaire à Bouaké. Etant logé dans un hôtel de luxe, la climatisation devenant insupportable, j’ai décidé de rentrer en contact avec une jeune fille pour passer la nuit ensemble » a témoigné un client, visiblement préoccupé, venu de Daloa. Un autre client habitant de la ville, dira qu’il préfère dormir chaque soir avec une professionnelle du sexe que de subir les caprices d’une quelconque jeune fille qui pourrait lui imposer des dépenses imprévues. D’autres travailleurs se soulagent avec ces filles parce qu’ils n’ont pas leurs conjointes à côté d’eux. Des jeunes gens fréquentent également ces lieux de perversion pour disent-ils mettre en pratique, ce qu’ils ont souvent vu dans les films pornographiques
Tuo Tchang à Bouaké, collaboration Fatogoman Ouattara