Abidjan – Des experts ouest africains et internationaux réunis dans le cadre de la quatrième conférence de l’Alliance borderless, ouverte, mardi, à Abidjan, réfléchissent sur l’impact du commerce régional sur la sécurité alimentaire.
L’Alliance borderless est une coalition d’entreprises du secteur privé qui s’est fixée pour objectif de débarrasser l’Afrique de l’ouest de toutes les tracasseries afin de permettre au secteur privé de pouvoir faire affaire et d’exploiter au mieux le potentiel économique de l’Afrique de l’ouest.
Durant deux jours, à travers des partages d’expérience et de connaissance, les participants devront formuler des recommandations fortes visant à atteindre les objectifs de sécurité alimentaire de la région. Cette conférence sera l’occasion d’interpeller les décideurs politiques sur la nécessité de formuler des politiques favorables à la promotion des échanges commerciaux.
La Cedeao représente moins de 2% des échanges au plan mondial et les échanges intra-communautaires, entre les pays, représentent moins de 5% de ceux de toute la communauté économique régionale.
Pour le représentant résident de la commission de l’Uemoa en Côte d’Ivoire, Cheick Ndir, la sécurité alimentaire demeure le premier objectif de la politique agricole de l’union.
"Pour atteindre les objectifs de la sécurité alimentaire, nous devons tous ensemble œuvrer pour élargir le marché intérieur, stimuler les échanges de produits agricoles au sein de l’Uemoa surtout réduire les contraintes qui pèsent sur les producteurs et les entraves aux échanges intérieurs au sein des Etats" a-t-il indiqué.
"La libre circulation des personnes et des biens notamment des produits agricoles en Afrique et particulièrement en Afrique de l’ouest est un défi majeur pour une contribution efficace du commerce à la sécurité alimentaire" a soutenu également le directeur de cabinet adjoint du ministre du commerce, Kébé Kanté.
Selon M. Kanté, une libéralisation accrue des échanges peut être une "arme puissante" dans la lutte contre la pauvreté.
"A cet égard, la suppression de nombreux obstacles au commerce à l’intérieur des pays revêt autant d’importance que les améliorations apportées à l’accès aux marchés intérieurs", a-t-il commenté.
(AIP)
kkf/akn/kam
L’Alliance borderless est une coalition d’entreprises du secteur privé qui s’est fixée pour objectif de débarrasser l’Afrique de l’ouest de toutes les tracasseries afin de permettre au secteur privé de pouvoir faire affaire et d’exploiter au mieux le potentiel économique de l’Afrique de l’ouest.
Durant deux jours, à travers des partages d’expérience et de connaissance, les participants devront formuler des recommandations fortes visant à atteindre les objectifs de sécurité alimentaire de la région. Cette conférence sera l’occasion d’interpeller les décideurs politiques sur la nécessité de formuler des politiques favorables à la promotion des échanges commerciaux.
La Cedeao représente moins de 2% des échanges au plan mondial et les échanges intra-communautaires, entre les pays, représentent moins de 5% de ceux de toute la communauté économique régionale.
Pour le représentant résident de la commission de l’Uemoa en Côte d’Ivoire, Cheick Ndir, la sécurité alimentaire demeure le premier objectif de la politique agricole de l’union.
"Pour atteindre les objectifs de la sécurité alimentaire, nous devons tous ensemble œuvrer pour élargir le marché intérieur, stimuler les échanges de produits agricoles au sein de l’Uemoa surtout réduire les contraintes qui pèsent sur les producteurs et les entraves aux échanges intérieurs au sein des Etats" a-t-il indiqué.
"La libre circulation des personnes et des biens notamment des produits agricoles en Afrique et particulièrement en Afrique de l’ouest est un défi majeur pour une contribution efficace du commerce à la sécurité alimentaire" a soutenu également le directeur de cabinet adjoint du ministre du commerce, Kébé Kanté.
Selon M. Kanté, une libéralisation accrue des échanges peut être une "arme puissante" dans la lutte contre la pauvreté.
"A cet égard, la suppression de nombreux obstacles au commerce à l’intérieur des pays revêt autant d’importance que les améliorations apportées à l’accès aux marchés intérieurs", a-t-il commenté.
(AIP)
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