Abidjan - Le Centre international pour la Justice transitionnelle (ICTJ) a organisé, mercredi, une réunion de haut niveau sur le thème "Quelles réparations pour les victimes des crises survenues en Côte d’Ivoire ?", dans le cadre du Projet de Renforcement du droit des victimes aux réparations en Côte d’Ivoire financé par l’Union européenne.
Selon un communiqué de l’ICTJ parvenu dimanche à l’AIP, cette conférence organisée en partenariat avec la Commission nationale pour la Réconciliation et l’Indemnisation des victimes des crises survenues en Côte d’Ivoire (CONARIV), visait à établir un dialogue entre les décideurs politiques, les organisations de la société civile et les partenaires internationaux sur les questions de réparations.
Les victimes ont présenté leurs propres recommandations portant sur les questions spécifiques de la constitution et la consolidation d’une liste unique de victimes, les mesures de réparations tenant compte des besoins des victimes et les mécanismes de mise en œuvre qui reflètent les réalités contextuelles de différentes zones du pays.
La conférence qui a réuni des décideurs politiques, des chancelleries et représentations diplomatiques en Côte d’Ivoire ainsi que des partenaires techniques et financiers et des organisations de la société civile autour des victimes, fait suite à une série de consultations des victimes tenue par ICTJ depuis près d’un an.
Les discussions de la conférence se sont appuyées sur les conclusions du document "Les directives pour la politique de réparation en Côte d’Ivoire" produit par ICTJ suite aux deux premières phases des consultations.
Les discussions ont permis également aux différents acteurs d'identifier des besoins et attentes exprimés par des représentants de victimes venant de diverses régions de la Côte d’Ivoire, dans l’optique de leur prise en considération dans la conception et la mise en œuvre de la programmation des réparations, notamment en ce qui concerne la constitution d’un fichier unique des victimes de même que la conception et la mise en œuvre des mesures de réparation.
ICTJ aide les sociétés confrontées à des violations massives des droits de l’Homme, afin de promouvoir la responsabilité pénale, de rechercher la vérité, de fournir des réparations et de bâtir des institutions étatiques ayant la confiance des citoyens.
Il est engagé dans la défense des droits des victimes et dans la promotion d’une justice respectueuse de l’égalité des sexes, fournit des conseils techniques spécialisés, des analyses politiques, et des recherches comparatives sur les approches de la justice transitionnelle (poursuites pénales, initiatives de réparations, recherche de la vérité et droit de mémoire, réformes institutionnelles).
Selon un communiqué de l’ICTJ parvenu dimanche à l’AIP, cette conférence organisée en partenariat avec la Commission nationale pour la Réconciliation et l’Indemnisation des victimes des crises survenues en Côte d’Ivoire (CONARIV), visait à établir un dialogue entre les décideurs politiques, les organisations de la société civile et les partenaires internationaux sur les questions de réparations.
Les victimes ont présenté leurs propres recommandations portant sur les questions spécifiques de la constitution et la consolidation d’une liste unique de victimes, les mesures de réparations tenant compte des besoins des victimes et les mécanismes de mise en œuvre qui reflètent les réalités contextuelles de différentes zones du pays.
La conférence qui a réuni des décideurs politiques, des chancelleries et représentations diplomatiques en Côte d’Ivoire ainsi que des partenaires techniques et financiers et des organisations de la société civile autour des victimes, fait suite à une série de consultations des victimes tenue par ICTJ depuis près d’un an.
Les discussions de la conférence se sont appuyées sur les conclusions du document "Les directives pour la politique de réparation en Côte d’Ivoire" produit par ICTJ suite aux deux premières phases des consultations.
Les discussions ont permis également aux différents acteurs d'identifier des besoins et attentes exprimés par des représentants de victimes venant de diverses régions de la Côte d’Ivoire, dans l’optique de leur prise en considération dans la conception et la mise en œuvre de la programmation des réparations, notamment en ce qui concerne la constitution d’un fichier unique des victimes de même que la conception et la mise en œuvre des mesures de réparation.
ICTJ aide les sociétés confrontées à des violations massives des droits de l’Homme, afin de promouvoir la responsabilité pénale, de rechercher la vérité, de fournir des réparations et de bâtir des institutions étatiques ayant la confiance des citoyens.
Il est engagé dans la défense des droits des victimes et dans la promotion d’une justice respectueuse de l’égalité des sexes, fournit des conseils techniques spécialisés, des analyses politiques, et des recherches comparatives sur les approches de la justice transitionnelle (poursuites pénales, initiatives de réparations, recherche de la vérité et droit de mémoire, réformes institutionnelles).