Yamoussoukro - Vingt-cinq praticiens de la médecine traditionnelle ont pris part de mercredi à samedi à Yamoussoukro, à un atelier de renforcement des capacités en matière de communication pour le changement de comportement (CCC) lié aux infections sexuellement transmissibles et au VIH/Sida.
Initié par le Programme national de promotion de la médecine traditionnelle (PNPMT), l’atelier sur la communication de changement de comportement est organisé en collaboration avec le Programme national de la lutte contre le Sida (PNLS) avec l’appui technique et financier de l’Alliance Côte d’Ivoire.
Il vise à renforcer les connaissances et compétences des praticiens de la médecine traditionnelle (MT) afin de les rendre capables d’utiliser l’approche d’éducation par les pairs pour le changement de comportement face à l’infection à VIH.
Le directeur coordonnateur du PNPMT, Dr Kroa Ehoulé, a salué samedi lors de la clôture des travaux, l’engagement du gouvernement de Côte d’Ivoire en terme de collaboration avec la MT qui a permis la valorisation et le développement de la médecine traditionnelle.
D'après lui, 91 % de la population utilise aujourd’hui la médecine traditionnelle qui apporte sa contribution auprès de la médecine conventionnelle pour améliorer la couverture au niveau de la sant. Le directeur coordonnateur du PNPMT a confié qu’en deux ans d’existence, l’unité de MT installée au CHU de Treichville a enregistré en consultation 25 000 patients, notamment les malades de diabète, de drépanocytose et d’hypertension artérielle.
Dr Kroa Ehoulé a annoncé l’installation prochaine d’une unité de MT à Yamoussoukro et la construction d’un institut de MT en Côte d’Ivoire. Il a par ailleurs plaidé pour l’homologation de leurs produits, le financement et l’appui technique des praticiens de la médecine traditionnelle et la création d’un jardin médicinal en Côte d’Ivoire.
Le Programme national de promotion de la médecine traditionnelle revendique environ 2 000 tradipraticiens et 350 cabinets identifiés.
L’État de Côte d’Ivoire, dans son plan national de développement sanitaire, a depuis 1995, intégré la médecine traditionnelle au niveau des priorités comme alternative aux besoins en santé de sa population et autorisé une collaboration entre médecine traditionnelle et médecine conventionnelle.
Initié par le Programme national de promotion de la médecine traditionnelle (PNPMT), l’atelier sur la communication de changement de comportement est organisé en collaboration avec le Programme national de la lutte contre le Sida (PNLS) avec l’appui technique et financier de l’Alliance Côte d’Ivoire.
Il vise à renforcer les connaissances et compétences des praticiens de la médecine traditionnelle (MT) afin de les rendre capables d’utiliser l’approche d’éducation par les pairs pour le changement de comportement face à l’infection à VIH.
Le directeur coordonnateur du PNPMT, Dr Kroa Ehoulé, a salué samedi lors de la clôture des travaux, l’engagement du gouvernement de Côte d’Ivoire en terme de collaboration avec la MT qui a permis la valorisation et le développement de la médecine traditionnelle.
D'après lui, 91 % de la population utilise aujourd’hui la médecine traditionnelle qui apporte sa contribution auprès de la médecine conventionnelle pour améliorer la couverture au niveau de la sant. Le directeur coordonnateur du PNPMT a confié qu’en deux ans d’existence, l’unité de MT installée au CHU de Treichville a enregistré en consultation 25 000 patients, notamment les malades de diabète, de drépanocytose et d’hypertension artérielle.
Dr Kroa Ehoulé a annoncé l’installation prochaine d’une unité de MT à Yamoussoukro et la construction d’un institut de MT en Côte d’Ivoire. Il a par ailleurs plaidé pour l’homologation de leurs produits, le financement et l’appui technique des praticiens de la médecine traditionnelle et la création d’un jardin médicinal en Côte d’Ivoire.
Le Programme national de promotion de la médecine traditionnelle revendique environ 2 000 tradipraticiens et 350 cabinets identifiés.
L’État de Côte d’Ivoire, dans son plan national de développement sanitaire, a depuis 1995, intégré la médecine traditionnelle au niveau des priorités comme alternative aux besoins en santé de sa population et autorisé une collaboration entre médecine traditionnelle et médecine conventionnelle.
