Le Bureau de la commission électorale indépendante (Cei), avec à sa tête son président Youssouf Bakayoko, a rencontré, hier, mardi 26 mai à son siège à Cocody, les partis significatifs de la scène politique ivoirienne.
Le Commission électorale indépendante a échangé hier avec les partis politiques. Objectif, leur faire part de l’organisation prochaine de l’opération de révision de la liste électorale qui débute, dès le 1er juin prochain, pour s’achever à la fin de ce mois. « Nous voulons que ces élections se déroulent dans d’excellentes conditions. C’est pourquoi à chaque étape, nous rencontrons les partis politiques pour leur faire part des dispositions à prendre et les documents à fournir. Mais bien entendu, nous prenons en compte leurs requêtes », a déclaré le premier vice-président de la Cei, Koné Sourou à l’ouverture de la réunion. Ce, avant que Youssouf Bakayoko n’apporte des précisions. « Nous allons à des élections que nous voulons apaisées, transparentes et crédibles, il est donc nécessaire de réviser la liste électorale et pour le faire, nous avons pris comme base la liste électorale de 2010. Nous procéderons tout d’abord à des vérifications de listes afin de savoir si les électeurs ont déménagé, changé de nom par le mariage ou sont décédés. Puis après avoir vidé d’éventuels contentieux nous rendrons publique la liste définitive. Raison pour laquelle nous exhortons les partis politiques à demander à leurs militants de se faire enrôler », a fait savoir le président de la Cei, qui veut donner la possibilité aux observateurs nationaux et internationaux de suivre cette opération. « Cela crédibilise notre action et permet de savoir que nous n’avons rien à cacher », confie-t-il. Youssouf Bakayoko rassure en outre que la Cei fera tout pour que ces élections présidentielles correspondent aux normes internationales. « C’est nécessaire que cela soit connu que cela soit fait, car 2015 doit être une année de la consolidation de la démocratie en Côte d’Ivoire. L’année 2010, vous vous souvenez, a été très difficile. Cette fois-ci, nous organisons de nouvelles élections pour les présidentielles. Ces élections présidentielles prouveront que notre pays a fait beaucoup de progrès en 2015. Et qu’il peut organiser et ses acteurs politiques participer à des élections apaisées », a-t-il soutenu. Aujourd’hui, la Cei rencontre les chefs coutumiers et en fin de semaine le corps préfectoral, pour leur livrer les mêmes informations.
Ibrahim DOUMBIA
Le Commission électorale indépendante a échangé hier avec les partis politiques. Objectif, leur faire part de l’organisation prochaine de l’opération de révision de la liste électorale qui débute, dès le 1er juin prochain, pour s’achever à la fin de ce mois. « Nous voulons que ces élections se déroulent dans d’excellentes conditions. C’est pourquoi à chaque étape, nous rencontrons les partis politiques pour leur faire part des dispositions à prendre et les documents à fournir. Mais bien entendu, nous prenons en compte leurs requêtes », a déclaré le premier vice-président de la Cei, Koné Sourou à l’ouverture de la réunion. Ce, avant que Youssouf Bakayoko n’apporte des précisions. « Nous allons à des élections que nous voulons apaisées, transparentes et crédibles, il est donc nécessaire de réviser la liste électorale et pour le faire, nous avons pris comme base la liste électorale de 2010. Nous procéderons tout d’abord à des vérifications de listes afin de savoir si les électeurs ont déménagé, changé de nom par le mariage ou sont décédés. Puis après avoir vidé d’éventuels contentieux nous rendrons publique la liste définitive. Raison pour laquelle nous exhortons les partis politiques à demander à leurs militants de se faire enrôler », a fait savoir le président de la Cei, qui veut donner la possibilité aux observateurs nationaux et internationaux de suivre cette opération. « Cela crédibilise notre action et permet de savoir que nous n’avons rien à cacher », confie-t-il. Youssouf Bakayoko rassure en outre que la Cei fera tout pour que ces élections présidentielles correspondent aux normes internationales. « C’est nécessaire que cela soit connu que cela soit fait, car 2015 doit être une année de la consolidation de la démocratie en Côte d’Ivoire. L’année 2010, vous vous souvenez, a été très difficile. Cette fois-ci, nous organisons de nouvelles élections pour les présidentielles. Ces élections présidentielles prouveront que notre pays a fait beaucoup de progrès en 2015. Et qu’il peut organiser et ses acteurs politiques participer à des élections apaisées », a-t-il soutenu. Aujourd’hui, la Cei rencontre les chefs coutumiers et en fin de semaine le corps préfectoral, pour leur livrer les mêmes informations.
Ibrahim DOUMBIA