Man – Une trentaine de médecins des régions sanitaires du Cavally-Guémon et du Tonkpi (District des Montagnes, Ouest) bénéficient depuis mardi à Man d’une session de formation sur la santé mentale.
La session organisée par l’ONG International Rescue Committee (IRC) en collaboration avec le programme national de santé mentale (PNSM) vise à contribuer à l’amélioration de la qualité des soins de santé de la population.
La formation est financée par l’Agence française de développement (AFD) dans le cadre du contrat de désendettement/développement (C2D santé-PRSS/ECHE-Intégration du volet psychosocial), indiquent les organisateurs.
Il s’agit de "renforcer les connaissances de base des bénéficiaires de la formation en matière de psychologie médicale et de santé mentale, notamment la relation soignant-soigné, de sensibiliser les personnels de santé aux questions liées à la santé mentale dans leur pratique quotidienne et de leur fournir les connaissances nécessaires pour poser un diagnostic correct y compris celui des traumatismes psychiques.
Il s’agit également de transmettre aux personnels de santé des informations leur permettant de mettre en place une prise en charge appropriée des troubles mentaux (investigations paracliniques, thérapeutiques médicamenteuses et psychothérapies) et de leur donner des compétences en matière de prise en charge psychosociale.
A la fin de ces formations, les personnels de santé seront capables d’établir une relation de qualité avec les patients, de définir la santé mentale et les maladies psychiatriques, de diagnostiquer les maladies psychiatriques et de mettre en place une prise en charge de première intention et de mieux prendre en compte les besoins et attentes des patients, escompte-t-on.
Le programme de renforcement des capacités en santé mentale s’adresse aux personnels soignant des zones concernées par le projet de renforcement du système de santé (PRSS) qu’exécute IRC dans les régions du Cavally-Guémon et Tonkpi, notamment les personnels des districts sanitaires de Bangolo, Danané, Man et de Zouan-Hounien.
La première session concerne les médecins et la seconde s’adresse aux infirmiers, sages-femmes et agents de santé communautaire des mêmes aires sanitaires, indique-t-on.
(AIP)
gem/akn/ask
La session organisée par l’ONG International Rescue Committee (IRC) en collaboration avec le programme national de santé mentale (PNSM) vise à contribuer à l’amélioration de la qualité des soins de santé de la population.
La formation est financée par l’Agence française de développement (AFD) dans le cadre du contrat de désendettement/développement (C2D santé-PRSS/ECHE-Intégration du volet psychosocial), indiquent les organisateurs.
Il s’agit de "renforcer les connaissances de base des bénéficiaires de la formation en matière de psychologie médicale et de santé mentale, notamment la relation soignant-soigné, de sensibiliser les personnels de santé aux questions liées à la santé mentale dans leur pratique quotidienne et de leur fournir les connaissances nécessaires pour poser un diagnostic correct y compris celui des traumatismes psychiques.
Il s’agit également de transmettre aux personnels de santé des informations leur permettant de mettre en place une prise en charge appropriée des troubles mentaux (investigations paracliniques, thérapeutiques médicamenteuses et psychothérapies) et de leur donner des compétences en matière de prise en charge psychosociale.
A la fin de ces formations, les personnels de santé seront capables d’établir une relation de qualité avec les patients, de définir la santé mentale et les maladies psychiatriques, de diagnostiquer les maladies psychiatriques et de mettre en place une prise en charge de première intention et de mieux prendre en compte les besoins et attentes des patients, escompte-t-on.
Le programme de renforcement des capacités en santé mentale s’adresse aux personnels soignant des zones concernées par le projet de renforcement du système de santé (PRSS) qu’exécute IRC dans les régions du Cavally-Guémon et Tonkpi, notamment les personnels des districts sanitaires de Bangolo, Danané, Man et de Zouan-Hounien.
La première session concerne les médecins et la seconde s’adresse aux infirmiers, sages-femmes et agents de santé communautaire des mêmes aires sanitaires, indique-t-on.
(AIP)
gem/akn/ask
