Daloa - Quelque 122 ex-combattants « hésitants jusque-là », ont exprimé leur volonté d’intégrer effectivement le processus du désarmement, de la démobilisation et de la réinsertion (DDR), a fait savoir, lundi à l’AIP, Tapé Daléba, président de l’ONG "BADA’’ ou ‘’l’espoir de vivre’’ en langue locale Bété.
En visite d’Etat dans la région de l’Agnéby-Tiassa, le président de la République, Alassane Ouattara avait lancé depuis Tiassalé, le 16 avril, un appel aux ex-combattants non immatriculés dans les registres des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI) de libérer les sites qu’ils occupent, afin d’adhérer au programme de désarmement et de réintégration, rappelle-t-on.
Ces ex-combattants non réprofilés sont issus des départements de Daloa et de Zoukougbeu. Ils ont été sensibilisés par l’ONG BADA suite à cet appel du président de la République, annonçant la fin du processus DDR au 30 juin 2015.
Par ailleurs, le Directeur de l’Autorité pour le désarmement la démobilisation et la réinsertion (ADDR) Fidèle Sarassoro , a amplifié l’appel du chef de l’Etat en initiant une dernière campagne de sensibilisation au cours de laquelle il a exhorté les ex-combattants du Haut-Sassandra non encore pris en compte par le processus à le faire avant qu’il ne soit trop tard.
C’est au cours de cette rencontre qu’il avait signé un contrat de partenariat avec quatre ONG de la région dont BADA, ayant pour mission de contribuer à la sensibilisation pour que le maximum d’ex- combattants adhèrent au processus DDR pour leur réinsertion sociale avant la date butoir du 30 juin.
Pour sa part de travail, l’ONG BADA a déniché et référé une vingtaine d’ex-combattants à l’antenne ADDR de la place, en espérant au dire de son président, faire d’autres trouvailles au cours des dernières semaines précédant la fin de l’enrôlement au programme DDR .
Créée en août 2005, l’ONG BADA s’est donné pour mission de défendre les droits fondamentaux des enfants. Mais ses orientations se déclinent en quatre points, à savoir, l’éducation, la formation, la santé et toutes formes de sensibilisation pour le bien-être de la société.
A ce titre elle prend en charge des centaines d’enfants orphelins et vulnérables issus de 150 ménages, dont elle assure la protection, la scolarité, les soins alimentaires et psycho-sociaux etc, avec l’appui de bailleurs de fonds américains qui devraient normalement se retirer dès la fin de cette année.
(AIP)
yy/akn/ask
En visite d’Etat dans la région de l’Agnéby-Tiassa, le président de la République, Alassane Ouattara avait lancé depuis Tiassalé, le 16 avril, un appel aux ex-combattants non immatriculés dans les registres des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI) de libérer les sites qu’ils occupent, afin d’adhérer au programme de désarmement et de réintégration, rappelle-t-on.
Ces ex-combattants non réprofilés sont issus des départements de Daloa et de Zoukougbeu. Ils ont été sensibilisés par l’ONG BADA suite à cet appel du président de la République, annonçant la fin du processus DDR au 30 juin 2015.
Par ailleurs, le Directeur de l’Autorité pour le désarmement la démobilisation et la réinsertion (ADDR) Fidèle Sarassoro , a amplifié l’appel du chef de l’Etat en initiant une dernière campagne de sensibilisation au cours de laquelle il a exhorté les ex-combattants du Haut-Sassandra non encore pris en compte par le processus à le faire avant qu’il ne soit trop tard.
C’est au cours de cette rencontre qu’il avait signé un contrat de partenariat avec quatre ONG de la région dont BADA, ayant pour mission de contribuer à la sensibilisation pour que le maximum d’ex- combattants adhèrent au processus DDR pour leur réinsertion sociale avant la date butoir du 30 juin.
Pour sa part de travail, l’ONG BADA a déniché et référé une vingtaine d’ex-combattants à l’antenne ADDR de la place, en espérant au dire de son président, faire d’autres trouvailles au cours des dernières semaines précédant la fin de l’enrôlement au programme DDR .
Créée en août 2005, l’ONG BADA s’est donné pour mission de défendre les droits fondamentaux des enfants. Mais ses orientations se déclinent en quatre points, à savoir, l’éducation, la formation, la santé et toutes formes de sensibilisation pour le bien-être de la société.
A ce titre elle prend en charge des centaines d’enfants orphelins et vulnérables issus de 150 ménages, dont elle assure la protection, la scolarité, les soins alimentaires et psycho-sociaux etc, avec l’appui de bailleurs de fonds américains qui devraient normalement se retirer dès la fin de cette année.
(AIP)
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