Le directeur général de l'Autorité pour le désarmement, la démobilisation et la réinsertion (ADDR) Fidèle Sarassoro a lancé vendredi à Abidjan un "ultime appel" aux ex-combattants de la crise ivoirienne afin qu'ils déposent les armes.
M. Sarassoro qui intervenait au cours d'un entretien avec des médias a appelé les ex-combattants encore hésitants à entrer dans le processus avant juin 2015.
"Nous visons la démobilisation et l'intégration de tous les ex- combattants d'ici le 30 juin. Au-delà du délai, tous ceux continuant de détenir des armes de façon illégale ne pourront plus bénéficier de la couverture de ce processus volontaire", a averti M. Sarassoro.
Au cours d'une récente visite officielle dans le sud du pays, le chef de l'Etat ivoirien Alassane Ouattara avait réitéré l'appel aux ex-combattants encore dans les camps militaires ou sur les sites publics ou privés pour qu'ils s'intègrent dans le processus de démobilisation, de désarmement et de réinsertion. "J'ai instruit le ministre chargé de la Défense et le chef d'état-major général des Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI) de s'assurer que tous les ex-combattants qui sont encore dans les camps militaires ou sur les sites publics ou privés intègrent le processus de l'ADDR et libèrent ces espaces avant le 30 juin 2015", avait lancé M. Ouattara.
A en croire l'ADDR, plus de 54.000 ex-combattants de la crise postélectorale de 2010-2011 en Côte d'Ivoire ont été réinsérés socialement en trois ans.
"54.424 ex-combattants sur 64.000 ont été insérés à ce jour, soit un taux de réalisation de 85%", s'est félicité son directeur général Fidèle Sarassoro.
Plus de 45.500 armes, notamment des kalachnikov, des obus, des grenades, ainsi que 2,5 millions de munitions ont été collectées en trois ans en Côte d'Ivoire, selon cette institution en charge du désarmement, de la démobilisation et de la réinsertion des ex- combattants.
M. Sarassoro qui intervenait au cours d'un entretien avec des médias a appelé les ex-combattants encore hésitants à entrer dans le processus avant juin 2015.
"Nous visons la démobilisation et l'intégration de tous les ex- combattants d'ici le 30 juin. Au-delà du délai, tous ceux continuant de détenir des armes de façon illégale ne pourront plus bénéficier de la couverture de ce processus volontaire", a averti M. Sarassoro.
Au cours d'une récente visite officielle dans le sud du pays, le chef de l'Etat ivoirien Alassane Ouattara avait réitéré l'appel aux ex-combattants encore dans les camps militaires ou sur les sites publics ou privés pour qu'ils s'intègrent dans le processus de démobilisation, de désarmement et de réinsertion. "J'ai instruit le ministre chargé de la Défense et le chef d'état-major général des Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI) de s'assurer que tous les ex-combattants qui sont encore dans les camps militaires ou sur les sites publics ou privés intègrent le processus de l'ADDR et libèrent ces espaces avant le 30 juin 2015", avait lancé M. Ouattara.
A en croire l'ADDR, plus de 54.000 ex-combattants de la crise postélectorale de 2010-2011 en Côte d'Ivoire ont été réinsérés socialement en trois ans.
"54.424 ex-combattants sur 64.000 ont été insérés à ce jour, soit un taux de réalisation de 85%", s'est félicité son directeur général Fidèle Sarassoro.
Plus de 45.500 armes, notamment des kalachnikov, des obus, des grenades, ainsi que 2,5 millions de munitions ont été collectées en trois ans en Côte d'Ivoire, selon cette institution en charge du désarmement, de la démobilisation et de la réinsertion des ex- combattants.