Dabou – Le ministre de l’Environnement, de la Salubrité urbaine et du Développement durable, Allah Kouadio Remi, sera à Dabou ce lundi, dans le cadre de la commémoration de la Journée mondiale des océans (JMO) 2015 dont le thème est ‘’Océans sains, planète saine’’, a appris le correspondant de l’AIP auprès de la directrice régionale dudit ministère, Gnakaby Danielle.
‘’La Journée mondiale des océans nous offre une opportunité considérable pour identifier des solutions visant à repenser notre culture de consommation afin de fonder une société viable dans laquelle tout un chacun aurait suffisamment de quoi vivre tout en respectant les capacités de régénération de la planète", explique une note d’information dont copie a été remise à l’AIP.
Au cours de cette commémoration, le ministère de l’Environnement, en partenariat avec le PNUE, les partenaires au développement, le secteur privé et la société civile, entend informer et sensibiliser les populations sur l’adoption de gestes éco-responsables pour une meilleure prise en charge individuelle et collective des océans qui couvrent les trois quarts de la superficie du globe terrestre.
‘’ Il est temps de faire le bilan de ce que notre envie de toujours plus coûte à notre planète, à notre santé et à l’avenir de nos enfants’’, a-t-il ajouté; (...) les océans, régulateurs de la température de la planète, absorbent environ 30% du dioxyde de carbone produit par les humains, atténuant ainsi les effets du changement climatique. Malheureusement, près de 40% de ces eaux sont considérés comme lourdement affectés par les activités humaines", ajoute la note.
Les principaux maux qui minent les océans sont, entre autres, la surexploitation de la pêche réduisant drastiquement les stocks de poissons, la destruction de l’habitat marin réduisant les zones de croissance de la ressource halieutique ainsi que la pollution marine ayant pour corollaire le développement d’espèces aquatiques envahissantes ou nuisibles.
L’Afrique, continent le plus vulnérable au changement climatique, est, selon le directeur exécutif du Programme des Nations-Unies pour l’environnement (PNUE), Achim Steiner, ‘’en première ligne pour faire face à cette réalité, pas dans l’avenir, mais maintenant’’, note-t-on.
La précédente édition des JMO s’est déroulée en 2014 à Grand-Lahou, rappelle-t-on.
kkp/tm
‘’La Journée mondiale des océans nous offre une opportunité considérable pour identifier des solutions visant à repenser notre culture de consommation afin de fonder une société viable dans laquelle tout un chacun aurait suffisamment de quoi vivre tout en respectant les capacités de régénération de la planète", explique une note d’information dont copie a été remise à l’AIP.
Au cours de cette commémoration, le ministère de l’Environnement, en partenariat avec le PNUE, les partenaires au développement, le secteur privé et la société civile, entend informer et sensibiliser les populations sur l’adoption de gestes éco-responsables pour une meilleure prise en charge individuelle et collective des océans qui couvrent les trois quarts de la superficie du globe terrestre.
‘’ Il est temps de faire le bilan de ce que notre envie de toujours plus coûte à notre planète, à notre santé et à l’avenir de nos enfants’’, a-t-il ajouté; (...) les océans, régulateurs de la température de la planète, absorbent environ 30% du dioxyde de carbone produit par les humains, atténuant ainsi les effets du changement climatique. Malheureusement, près de 40% de ces eaux sont considérés comme lourdement affectés par les activités humaines", ajoute la note.
Les principaux maux qui minent les océans sont, entre autres, la surexploitation de la pêche réduisant drastiquement les stocks de poissons, la destruction de l’habitat marin réduisant les zones de croissance de la ressource halieutique ainsi que la pollution marine ayant pour corollaire le développement d’espèces aquatiques envahissantes ou nuisibles.
L’Afrique, continent le plus vulnérable au changement climatique, est, selon le directeur exécutif du Programme des Nations-Unies pour l’environnement (PNUE), Achim Steiner, ‘’en première ligne pour faire face à cette réalité, pas dans l’avenir, mais maintenant’’, note-t-on.
La précédente édition des JMO s’est déroulée en 2014 à Grand-Lahou, rappelle-t-on.
kkp/tm