Bouaflé – Au total, 973 ex-combattants dans la région de la Marahoué ont été identifiés, indique un rapport de l’Ong Unis pour sauver des vies (USV).
Au nombre de ceux-ci, 625 dont 590 sont en resocialisation dans des différentes activités comme le commerce et l’agropastoral et 35 autres en attente depuis près de 10 mois, selon ce rapport. Quelque 313 n’ont pas été pris en compte par l’Autorité de Démobilisation, désarmement et réinsertion (ADDR) pour des problèmes d’âge tandis que d’autres ont pris des destinations inconnues.
Ce rapport qui prend en compte la période de 2002 à 2015 retrace les activités menées par l’Ong USV pour atteindre ces résultats. Il s’agit notamment des affichages sur les sites d’intervention, de la sensibilisation des présumés ex-combattants dans le département de Bouaflé, Zuénoula et Gohitafla.
Le message de sensibilisation prôné aux jeunes porte sur le parcours du combattant et les avantages liés au projet Démobilisation, désarmement et réinsertion (DDR).
Même si l’on note dans le rapport d’excellents résultats, de nombreuses difficultés demeurent notamment, le manque de volonté de certains jeunes à se déclarer ex-combattants malgré la détention illicite d’une arme et la dégradation de l’état des routes qui a causé des dégâts aux matériels roulants.
Pour l’Ong USV, la sensibilisation des jeunes doit être accentuée dans les villages, même si "lé désarmement, la démobilisation est un acte volontaire", précise le rapport qui s’en tient aux propos de certains jeunes, affirmant ne pas posséder d’arme à feu ni participer à aucune activité où l’on la manipule.
L’Ong Unis pour Sauver des Vies a été portée sur les fonds baptismaux en 2013 à Bouaflé (Centre-ouest, région de la Marahoué) et exerce son mandat dans le domaine de la santé, du respect des Droits humains et le développement local.
(AIP)
zaar/ask
Au nombre de ceux-ci, 625 dont 590 sont en resocialisation dans des différentes activités comme le commerce et l’agropastoral et 35 autres en attente depuis près de 10 mois, selon ce rapport. Quelque 313 n’ont pas été pris en compte par l’Autorité de Démobilisation, désarmement et réinsertion (ADDR) pour des problèmes d’âge tandis que d’autres ont pris des destinations inconnues.
Ce rapport qui prend en compte la période de 2002 à 2015 retrace les activités menées par l’Ong USV pour atteindre ces résultats. Il s’agit notamment des affichages sur les sites d’intervention, de la sensibilisation des présumés ex-combattants dans le département de Bouaflé, Zuénoula et Gohitafla.
Le message de sensibilisation prôné aux jeunes porte sur le parcours du combattant et les avantages liés au projet Démobilisation, désarmement et réinsertion (DDR).
Même si l’on note dans le rapport d’excellents résultats, de nombreuses difficultés demeurent notamment, le manque de volonté de certains jeunes à se déclarer ex-combattants malgré la détention illicite d’une arme et la dégradation de l’état des routes qui a causé des dégâts aux matériels roulants.
Pour l’Ong USV, la sensibilisation des jeunes doit être accentuée dans les villages, même si "lé désarmement, la démobilisation est un acte volontaire", précise le rapport qui s’en tient aux propos de certains jeunes, affirmant ne pas posséder d’arme à feu ni participer à aucune activité où l’on la manipule.
L’Ong Unis pour Sauver des Vies a été portée sur les fonds baptismaux en 2013 à Bouaflé (Centre-ouest, région de la Marahoué) et exerce son mandat dans le domaine de la santé, du respect des Droits humains et le développement local.
(AIP)
zaar/ask