Zuénoula – Le président régional de la commission électorale indépendante (CEI) de la Marahoué, Koita Amara a demandé le soutien des cadres du département de Zuénoula pour "booster le processus"qui prend fin dans deux semaines.
Koita Amara s’exprimait, lundi, à l’occasion d’une séance d’information et de sensibilisation sur l’opération de révision de la liste électorale initiée par le préfet du département de Zuénoula, Niamkey Basile, indiquant que l’opération "à mi-parcours à Zuénoula présente un bilan mitigé".
Il a invité les populations à se faire enrôler pour qu’ils puissent prendre part au vote.
Pour le préfet, initiateur de cette rencontre, l’opération qui a débuté le 04 juin dernier dans sa circonscription est "timide" et ne saurait se faire en dehors des acteurs qu’il a convoqués.
"Une campagne de proximité pour donner des informations précises sur l’opération" a-t-il dit.
Plusieurs inquiétudes relatives au nombre limité des sites d’enrôlement, des difficultés de déplacements pour les populations pour aller se faire enrôler sur les sites qu’ils jugent trop éloignés, des pièces à fournir pour se faire enrôler et du déficit de communication sur le processus dans le département ont été soulevés par les participants.
Ont pris part à cette rencontre les sous-préfets, le député de Zuénoula commune, le maire, les directeurs et chefs de services, les chefs de canton, de tribus, de villages et les responsables des partis politiques et des communautés du département.
A ce jour, seulement 750 réquerants ont été enregistrés à Zuénoula, d'après la CEI locale.
akr/kkf/ask
Koita Amara s’exprimait, lundi, à l’occasion d’une séance d’information et de sensibilisation sur l’opération de révision de la liste électorale initiée par le préfet du département de Zuénoula, Niamkey Basile, indiquant que l’opération "à mi-parcours à Zuénoula présente un bilan mitigé".
Il a invité les populations à se faire enrôler pour qu’ils puissent prendre part au vote.
Pour le préfet, initiateur de cette rencontre, l’opération qui a débuté le 04 juin dernier dans sa circonscription est "timide" et ne saurait se faire en dehors des acteurs qu’il a convoqués.
"Une campagne de proximité pour donner des informations précises sur l’opération" a-t-il dit.
Plusieurs inquiétudes relatives au nombre limité des sites d’enrôlement, des difficultés de déplacements pour les populations pour aller se faire enrôler sur les sites qu’ils jugent trop éloignés, des pièces à fournir pour se faire enrôler et du déficit de communication sur le processus dans le département ont été soulevés par les participants.
Ont pris part à cette rencontre les sous-préfets, le député de Zuénoula commune, le maire, les directeurs et chefs de services, les chefs de canton, de tribus, de villages et les responsables des partis politiques et des communautés du département.
A ce jour, seulement 750 réquerants ont été enregistrés à Zuénoula, d'après la CEI locale.
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