Trente (30) Enseignants-Chercheurs de l’Université Nangui Abrogoua (UNA) promus au grade de Maître de Conférences du CAMES ont été célébrés, hier mardi 16 juin 2015, par les autorités académiques de l’UNA, en présence des parents et collègues de ceux-ci.
Dans son allocution de bienvenue, le Prof TANO Yao, Président de l’UNA, a chaleureusement félicité les récipiendaires pour cette promotion académique avant d’indiquer que le grade atteint par les promus est celui à partir duquel un enseignant est autorisé à encadrer des travaux de Doctorat ou de Master et à dispenser des cours magistraux. « Avec le CAMES, c’est la transparence et c’est le mérite qui est reconnu par un jury qui est le Comité Technique Spécialisé (CTS) de la spécialité du candidat (…) ce sont donc ceux qui ont rempli les conditions d’inscription sur la LAFMC des années 2010, 2011, 2012 et 2013 que nous célébrons aujourd’hui. » a-t-il dit tout en se réjouissant que le CAMES constitue pour l’enseignement supérieur du continent africain, à la fois un organisme d’intégration régionale et un organe d’assurance qualité. Faisant ensuite l’historique de la toge, il a rappelé que la couleur de la fleur épinglée à la robe est fonction de la faculté quand le nombre de rangées de cauris traduit le grade : une rangée pour les Maîtres-Assistants, deux rangées pour les Maîtres de Conférences et trois rangées pour les Professeurs. « Chers collègues, vous êtes à l’honneur ce jour et au nom de l’Université de Côte d’Ivoire, je voudrais vous adresser nos félicitations les plus appuyées et vous souhaiter une suite de carrière encore plus brillante qu’elle ne l’a été jusqu’à ce jour. » a-t-il conclu. Le porte-parole des récipiendaires, le Prof. TIHO Seydou, a exprimé toute la gratitude des promus au Président de l’UNA pour avoir organisé cette cérémonie en leur honneur et pris l’engagement, au nom des récipiendaires, de mériter la confiance qui est placée en eux. « La toge est un symbolisme et une distinction mais c’est surtout aussi synonyme de responsabilités. Elle fait passer d’un stade d’encadré à un stade d’encadreur. Désormais les décisions que nous serons amenées à prendre auront un cachet particulier. En toute occasion, nous garderons en vue cette responsabilité. » a-t-il ajouté.
Dans son allocution de bienvenue, le Prof TANO Yao, Président de l’UNA, a chaleureusement félicité les récipiendaires pour cette promotion académique avant d’indiquer que le grade atteint par les promus est celui à partir duquel un enseignant est autorisé à encadrer des travaux de Doctorat ou de Master et à dispenser des cours magistraux. « Avec le CAMES, c’est la transparence et c’est le mérite qui est reconnu par un jury qui est le Comité Technique Spécialisé (CTS) de la spécialité du candidat (…) ce sont donc ceux qui ont rempli les conditions d’inscription sur la LAFMC des années 2010, 2011, 2012 et 2013 que nous célébrons aujourd’hui. » a-t-il dit tout en se réjouissant que le CAMES constitue pour l’enseignement supérieur du continent africain, à la fois un organisme d’intégration régionale et un organe d’assurance qualité. Faisant ensuite l’historique de la toge, il a rappelé que la couleur de la fleur épinglée à la robe est fonction de la faculté quand le nombre de rangées de cauris traduit le grade : une rangée pour les Maîtres-Assistants, deux rangées pour les Maîtres de Conférences et trois rangées pour les Professeurs. « Chers collègues, vous êtes à l’honneur ce jour et au nom de l’Université de Côte d’Ivoire, je voudrais vous adresser nos félicitations les plus appuyées et vous souhaiter une suite de carrière encore plus brillante qu’elle ne l’a été jusqu’à ce jour. » a-t-il conclu. Le porte-parole des récipiendaires, le Prof. TIHO Seydou, a exprimé toute la gratitude des promus au Président de l’UNA pour avoir organisé cette cérémonie en leur honneur et pris l’engagement, au nom des récipiendaires, de mériter la confiance qui est placée en eux. « La toge est un symbolisme et une distinction mais c’est surtout aussi synonyme de responsabilités. Elle fait passer d’un stade d’encadré à un stade d’encadreur. Désormais les décisions que nous serons amenées à prendre auront un cachet particulier. En toute occasion, nous garderons en vue cette responsabilité. » a-t-il ajouté.