Abidjan (Côte d'Ivoire) - La filière manioc peut endiguer la pauvreté en Côte d’Ivoire et assurer l’autosuffisance alimentaire de ce pays, a confié vendredi à APA, le Secrétaire général (SG) de l’Interprofession de la filière manioc en Côte d’Ivoire (IFIMACI), Franck Zidjé, au troisième et dernier jour du Manioc business forum (MABUFOR), organisé dans la capitale économique ivoirienne.
«Le manioc peut endiguer la pauvreté et constituer un puissant levier pour assurer l'autosuffisance alimentaire dans notre pays (Côte d'Ivoire)», a déclaré M. Zidjé soulignant qu'en plus des tubercules, les feuilles de manioc servent à faire de la sauce.
« Le manioc rentre dans la fabrication de la bière, de l'éthanol, de l'essence, du gaz et ses déchets sont vendus comme engrais », a-il-détaillé. Pour M. Zidjé, l'autosuffisance alimentaire ne peut être atteinte que si le gouvernement ivoirien soutient et organise ce secteur du manioc.
Selon l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), le manioc est la deuxième culture vivrière en Côte d'Ivoire, après l'igname. La production mondiale de manioc est estimée à 275 millions de tonnes. Le Nigeria fournit 60% de cette production.
SB/ls
«Le manioc peut endiguer la pauvreté et constituer un puissant levier pour assurer l'autosuffisance alimentaire dans notre pays (Côte d'Ivoire)», a déclaré M. Zidjé soulignant qu'en plus des tubercules, les feuilles de manioc servent à faire de la sauce.
« Le manioc rentre dans la fabrication de la bière, de l'éthanol, de l'essence, du gaz et ses déchets sont vendus comme engrais », a-il-détaillé. Pour M. Zidjé, l'autosuffisance alimentaire ne peut être atteinte que si le gouvernement ivoirien soutient et organise ce secteur du manioc.
Selon l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), le manioc est la deuxième culture vivrière en Côte d'Ivoire, après l'igname. La production mondiale de manioc est estimée à 275 millions de tonnes. Le Nigeria fournit 60% de cette production.
SB/ls