Abidjan - Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Gnamien Konan, a ouvert mercredi un atelier d’échanges et de partage des politiques de développement de l’Enseignement supérieur au cours duquel il a invité le secteur privé à s’impliquer dans l’enseignement supérieur.
"J’invite le secteur privé à s’intéresser à nos établissements de formation. Aidez-nous dans le financement et la réforme des curricula", a plaidé Gnamien Konan, selon un communiqué du ministère dont copie a été reçue vendredi par l’AIP.
Les travaux se sont déroulés en présence du ministre sénégalais de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Mary Teuw Niane, à la représentation ivoirienne de la Banque mondiale, sise à Abidjan-Cocody.
Les participants étaient invités à diagnostiquer les problèmes qui minent les systèmes d’enseignement supérieur sous-régionaux tenant notamment à la massification des étudiants qui engendre un déficit d’enseignants, à l’efficacité interne des Unités de formation et de recherche (UFR), à l’efficacité externe des produits de ces UFR et au faible taux d’insertion professionnelle des diplômés.
Diagnostic a également fait de la perte de crédit du système de l’enseignement supérieur, de l’épineux problème de son financement, et du faible niveau des équipements dans les laboratoires.
Ils ont noté que l’introduction des Technologies de l’information et de la communication (TIC) s’avère indispensable dans la résolution des défis de la pertinence et de la qualité des systèmes d’enseignement supérieur.
L’atelier qui a pris fin jeudi a permis d’élaborer une feuille de route pour rendre plus dynamique l’enseignement supérieur en Côte d’Ivoire et dans la sous-région.
aaa/ask
"J’invite le secteur privé à s’intéresser à nos établissements de formation. Aidez-nous dans le financement et la réforme des curricula", a plaidé Gnamien Konan, selon un communiqué du ministère dont copie a été reçue vendredi par l’AIP.
Les travaux se sont déroulés en présence du ministre sénégalais de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Mary Teuw Niane, à la représentation ivoirienne de la Banque mondiale, sise à Abidjan-Cocody.
Les participants étaient invités à diagnostiquer les problèmes qui minent les systèmes d’enseignement supérieur sous-régionaux tenant notamment à la massification des étudiants qui engendre un déficit d’enseignants, à l’efficacité interne des Unités de formation et de recherche (UFR), à l’efficacité externe des produits de ces UFR et au faible taux d’insertion professionnelle des diplômés.
Diagnostic a également fait de la perte de crédit du système de l’enseignement supérieur, de l’épineux problème de son financement, et du faible niveau des équipements dans les laboratoires.
Ils ont noté que l’introduction des Technologies de l’information et de la communication (TIC) s’avère indispensable dans la résolution des défis de la pertinence et de la qualité des systèmes d’enseignement supérieur.
L’atelier qui a pris fin jeudi a permis d’élaborer une feuille de route pour rendre plus dynamique l’enseignement supérieur en Côte d’Ivoire et dans la sous-région.
aaa/ask
