L’Action sociale en milieu urbain (Asmu), pôle social du Centre de recherche et d’action pour la paix (Cerap) a organisé une cérémonie de restitution des travaux sur le foncier. Elle s’est tenue le jeudi 18 juin 2015 au sein dudit centre à Cocody.
Le directeur général du Cerap, le Père Eugène Goussikindey a expliqué les objectifs et les attentes du projet ‘’foncier urbain 2’’, qui entend promouvoir la bonne gouvernance foncière auprès de tous les acteurs du District d’Abidjan, à travers des actions de recherche et de formation. Il a invité les participants à être des porte-paroles des bonnes habitudes sur le foncier. ‘’La cérémonie de restitution des résultats de l’étude sur le foncier urbain a deux objectifs essentiels que sont la présentation des activités qui ont été menées et leurs résultats. Puis, la restitution des recommandations issues des consultations avec tous les intervenants’’.
Martine Patron, directrice de l’Asmu a publié les recommandations faites aux différents acteurs de la ligne du foncier. Ce sont entre autres : l’association des femmes à la gestion des affaires villageoises ; sanctionner les auteurs de malversations dans le foncier ; la tenue à l’écart des conflits fonciers de FRCI et autres hommes en arme, sensibiliser les populations villageoises sur les bonnes habitudes...
Pour elle, les litiges fonciers sont la cause de la méconnaissance ou de l’ignorance des populations urbaines vis-à-vis des règles d’acquisition et le manque de communication de la part des autorités en charge du domaine foncier.
Gadé Sylvain, responsable du foncier rural et Paul Gbanfrein, coordonnateur de l’action terrain ont présenté les différentes activités du projet ‘’Foncier 2’’, les résultats obtenus, l’organisation sociopolitique et les mécanismes de gestion foncière des six villages parcourus (Anonkoua-Kouté, Abobo-Baoulé, Anyama-Adjamé, M’Badon, Akouédo-Village et M’Pouto) et les bonnes pratiques en matière de gouvernance foncière dans les villages.
Les ministres de la Construction, du Logement, de l’Assainissement et de l’Urbanisme (MCLAU), de la famille, de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant ont, par le biais de leurs représentants, traduit leur satisfécit vis-à-vis du travail abattu par l’Asmu.
Kouamé N’Guessan, assistant programme, représentant la directrice du Programme National de Cohésion Sociale (Pncs) a estimé que le foncier demeure l’une des principales sources de tensions en Côte d’Ivoire. Il affecte les relations inter-villageoises, inter et intra communautaires, et les relations intrafamiliales. « Les actions entreprises par l’Asmu, participent à l’éducation et à la sensibilisation pour de bonnes pratiques en matières de gestion foncière. Mais, aussi à la préservation de la paix et au renforcement de la cohésion sociale », a-t-il encouragé.
Notons que la première initiative nommée ‘’Foncier urbain 1’’ a consisté à déterminer les causes du non accès aux services sociaux de base des populations vulnérables, les dynamiques associatives et communautaires, les origines des conflits fonciers urbains, et d’autre part, à rechercher les voies et moyens de la résolution pacifique de ces conflits par la sensibilisation, la formation et le plaidoyer.
R-O
Le directeur général du Cerap, le Père Eugène Goussikindey a expliqué les objectifs et les attentes du projet ‘’foncier urbain 2’’, qui entend promouvoir la bonne gouvernance foncière auprès de tous les acteurs du District d’Abidjan, à travers des actions de recherche et de formation. Il a invité les participants à être des porte-paroles des bonnes habitudes sur le foncier. ‘’La cérémonie de restitution des résultats de l’étude sur le foncier urbain a deux objectifs essentiels que sont la présentation des activités qui ont été menées et leurs résultats. Puis, la restitution des recommandations issues des consultations avec tous les intervenants’’.
Martine Patron, directrice de l’Asmu a publié les recommandations faites aux différents acteurs de la ligne du foncier. Ce sont entre autres : l’association des femmes à la gestion des affaires villageoises ; sanctionner les auteurs de malversations dans le foncier ; la tenue à l’écart des conflits fonciers de FRCI et autres hommes en arme, sensibiliser les populations villageoises sur les bonnes habitudes...
Pour elle, les litiges fonciers sont la cause de la méconnaissance ou de l’ignorance des populations urbaines vis-à-vis des règles d’acquisition et le manque de communication de la part des autorités en charge du domaine foncier.
Gadé Sylvain, responsable du foncier rural et Paul Gbanfrein, coordonnateur de l’action terrain ont présenté les différentes activités du projet ‘’Foncier 2’’, les résultats obtenus, l’organisation sociopolitique et les mécanismes de gestion foncière des six villages parcourus (Anonkoua-Kouté, Abobo-Baoulé, Anyama-Adjamé, M’Badon, Akouédo-Village et M’Pouto) et les bonnes pratiques en matière de gouvernance foncière dans les villages.
Les ministres de la Construction, du Logement, de l’Assainissement et de l’Urbanisme (MCLAU), de la famille, de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant ont, par le biais de leurs représentants, traduit leur satisfécit vis-à-vis du travail abattu par l’Asmu.
Kouamé N’Guessan, assistant programme, représentant la directrice du Programme National de Cohésion Sociale (Pncs) a estimé que le foncier demeure l’une des principales sources de tensions en Côte d’Ivoire. Il affecte les relations inter-villageoises, inter et intra communautaires, et les relations intrafamiliales. « Les actions entreprises par l’Asmu, participent à l’éducation et à la sensibilisation pour de bonnes pratiques en matières de gestion foncière. Mais, aussi à la préservation de la paix et au renforcement de la cohésion sociale », a-t-il encouragé.
Notons que la première initiative nommée ‘’Foncier urbain 1’’ a consisté à déterminer les causes du non accès aux services sociaux de base des populations vulnérables, les dynamiques associatives et communautaires, les origines des conflits fonciers urbains, et d’autre part, à rechercher les voies et moyens de la résolution pacifique de ces conflits par la sensibilisation, la formation et le plaidoyer.
R-O
