Abidjan - L’Association Obésité et Diabète de Côte d’Ivoire (AODCI) annonce la tenue, fin juillet prochain, d’un séminaire de renforcement de capacités de 78 agents de santé en vue d’une meilleure prise en charge du pied diabétique en Côte d’Ivoire.
En effet, en Côte d’Ivoire le taux de prévalence du diabète est passé de 5,7% avant 2000 à 9,6% en 2010. Cette augmentation de la prévalence entraine une incidence élevée des complications notamment les comas et le pied diabétique à l’origine d’une mortalité et d’un taux d’amputation important, selon les spécialistes de la maladie.
Ainsi, l’Assemblée générale de Nations Unies a, dans une résolution prise le 20 décembre 2006 lors de sa 83ème séance plénière, invité les organisations internationales, la société civile et le secteur privé à sensibiliser le public sur le diabète, ses complications et son traitement notamment au moyen de l’éducation.
C’est pour permettre aux 78 agents de santé issus de 40 centres de prise en charge ambulatoire du diabète (CPAD) installés dans 10 régions sanitaires du pays de bénéficier d’une amélioration de connaissances dans la détection des pieds à risques, le traitement des lésions du pied et la prévention de l’amputation chez le diabétique, que l’AODCI, dirigée par Dr Jacko Abodo, va organiser cet atelier qui se déroulera les 30 et 31 juillet à Abidjan.
De 2012 à 2014, l’Association Obésité et Diabète de Côte d’Ivoire, grâce à l’appui financier de la Fondation mondiale du diabète, a permis la formation de 260 agents de santé, l’organisation de 326 campagnes de sensibilisation et de dépistage qui ont touché 120.107 personnes et favorisé la prise en charge de 5306 diabétiques dont 1342 nouveaux cas à travers les différentes localités du pays.
Selon l’Atlas de l’IDF, en 2014, le nombre de diabétiques est estimé à 387 millions avec une possibilité d’atteindre en 2030 à 500 millions de personnes vivant avec la condition. Ces mêmes statistiques relèvent qu’un diabétique est amputé toutes les 30 secondes. Au regard de ces chiffres alarmants, les spécialistes affirment que le diabète sucré, plus qu’un problème de santé publique, constitue aujourd’hui un problème de développement dans le monde principalement dans les pays en développement.
(AIP)
kp
En effet, en Côte d’Ivoire le taux de prévalence du diabète est passé de 5,7% avant 2000 à 9,6% en 2010. Cette augmentation de la prévalence entraine une incidence élevée des complications notamment les comas et le pied diabétique à l’origine d’une mortalité et d’un taux d’amputation important, selon les spécialistes de la maladie.
Ainsi, l’Assemblée générale de Nations Unies a, dans une résolution prise le 20 décembre 2006 lors de sa 83ème séance plénière, invité les organisations internationales, la société civile et le secteur privé à sensibiliser le public sur le diabète, ses complications et son traitement notamment au moyen de l’éducation.
C’est pour permettre aux 78 agents de santé issus de 40 centres de prise en charge ambulatoire du diabète (CPAD) installés dans 10 régions sanitaires du pays de bénéficier d’une amélioration de connaissances dans la détection des pieds à risques, le traitement des lésions du pied et la prévention de l’amputation chez le diabétique, que l’AODCI, dirigée par Dr Jacko Abodo, va organiser cet atelier qui se déroulera les 30 et 31 juillet à Abidjan.
De 2012 à 2014, l’Association Obésité et Diabète de Côte d’Ivoire, grâce à l’appui financier de la Fondation mondiale du diabète, a permis la formation de 260 agents de santé, l’organisation de 326 campagnes de sensibilisation et de dépistage qui ont touché 120.107 personnes et favorisé la prise en charge de 5306 diabétiques dont 1342 nouveaux cas à travers les différentes localités du pays.
Selon l’Atlas de l’IDF, en 2014, le nombre de diabétiques est estimé à 387 millions avec une possibilité d’atteindre en 2030 à 500 millions de personnes vivant avec la condition. Ces mêmes statistiques relèvent qu’un diabétique est amputé toutes les 30 secondes. Au regard de ces chiffres alarmants, les spécialistes affirment que le diabète sucré, plus qu’un problème de santé publique, constitue aujourd’hui un problème de développement dans le monde principalement dans les pays en développement.
(AIP)
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