Le coordonnateur technique de l’équipe projet de révision de la liste électorale au sein de la Commission électorale indépendante (CEI), Antoine Adou a dressé un bilan partiel de l’opération qu’il pilote. Invité de la rédaction d’Onuci.fm le lundi 22 juin 2015, il a noté que les chiffres en sa possession sont encore loin des résultats attendus.
A une semaine de la fin de l’opération d’enrôlement pour la révision de la liste électorale, Antoine Adou a communiqué les chiffres suivants : « Actuellement, nous en sommes à 200 000 requérants enregistrés en Côte d’Ivoire. Ce qui n’est pas beaucoup. Nous espérons atteindre la barre de 500 000 à 600 000 requérants sur 1 million de personnes potentiellement attendues. La barre de 1 million concerne les personnes qui sont passées par les audiences foraines ou qui ont déposé un dossier à l’ONI ».
Le coordonnateur technique de l’équipe projet de révision de la liste électorale au sein de la CEI a également expliqué qu’en 2013-2014, les nouveaux requérants avaient été estimés à environ 3 millions. « De ce potentiel, il se trouve que, malheureusement, beaucoup ne disposent pas de la pièce requise. C’est le constat que nous avons fait. Les audiences foraines ont été organisées par le gouvernement pour permettre justement à un grand nombre de personnes d’avoir leurs pièces. Selon les résultats obtenus à l’issue de ces audiences foraines, le potentiel tourne autour de 1 million de personnes qui détiendraient l’une des pièces requises », a précisé Antoine Adou, par ailleurs conseiller spécial du président de la CEI.
Malgré le problème d’acquisition de la carte nationale d’identité (CNI) ou du certificat de nationalité souvent évoqué comme obstacle à une grande affluence vers les centres d’enrôlement sur la liste électorale, Antoine Adou a relevé l’impossibilité de proroger l’opération. « Il ne peut pas avoir de prolongation. Car une prolongation impacterait négativement le chronogramme. L’élection présidentielle est prévue au mois d’octobre 2015. Et nous avons des contraintes comme la publication et l’affichage de la liste provisoire pour ouvrir le contentieux. Cette publication et cet affichage doivent se faire trois mois au plus tard avant le scrutin », a-t-il souligné.
A.A
A une semaine de la fin de l’opération d’enrôlement pour la révision de la liste électorale, Antoine Adou a communiqué les chiffres suivants : « Actuellement, nous en sommes à 200 000 requérants enregistrés en Côte d’Ivoire. Ce qui n’est pas beaucoup. Nous espérons atteindre la barre de 500 000 à 600 000 requérants sur 1 million de personnes potentiellement attendues. La barre de 1 million concerne les personnes qui sont passées par les audiences foraines ou qui ont déposé un dossier à l’ONI ».
Le coordonnateur technique de l’équipe projet de révision de la liste électorale au sein de la CEI a également expliqué qu’en 2013-2014, les nouveaux requérants avaient été estimés à environ 3 millions. « De ce potentiel, il se trouve que, malheureusement, beaucoup ne disposent pas de la pièce requise. C’est le constat que nous avons fait. Les audiences foraines ont été organisées par le gouvernement pour permettre justement à un grand nombre de personnes d’avoir leurs pièces. Selon les résultats obtenus à l’issue de ces audiences foraines, le potentiel tourne autour de 1 million de personnes qui détiendraient l’une des pièces requises », a précisé Antoine Adou, par ailleurs conseiller spécial du président de la CEI.
Malgré le problème d’acquisition de la carte nationale d’identité (CNI) ou du certificat de nationalité souvent évoqué comme obstacle à une grande affluence vers les centres d’enrôlement sur la liste électorale, Antoine Adou a relevé l’impossibilité de proroger l’opération. « Il ne peut pas avoir de prolongation. Car une prolongation impacterait négativement le chronogramme. L’élection présidentielle est prévue au mois d’octobre 2015. Et nous avons des contraintes comme la publication et l’affichage de la liste provisoire pour ouvrir le contentieux. Cette publication et cet affichage doivent se faire trois mois au plus tard avant le scrutin », a-t-il souligné.
A.A