Un décret pris en Conseil des ministres, mercredi, a dissout les activités de l’Autorité pour le désarmement, la démobilisation et la réintégration (ADRR). Mais le communiqué qui a sanctionné la réunion du Président de la République avec ses ministres note également la création d’une Cellule de coordination.
Cette Cellule va désormais poursuivre les activités de réinsertion et de réintégration des ex-combattants. Ainsi, comme l’a promis le Chef de l’Etat, personne ne sera laissé pour compte. D’autant que la nouvelle Cellule est chargée de suivre les ex-combattants déjà désarmés et démobilisés jusqu’à leur réintégration effective.
Selon Bruno Koné, le porte-parole du gouvernement, l’Autorité de démobilisation, de désarmement et de réinsertion (ADDR), créée en 2012, "a achevé sa mission". L’ADDR "est parvenue à réinsérer 55.000 ex-combattants" sur 64.000, "soit un taux concluant de 85%", s’est félicité M. Koné.
D A
Cette Cellule va désormais poursuivre les activités de réinsertion et de réintégration des ex-combattants. Ainsi, comme l’a promis le Chef de l’Etat, personne ne sera laissé pour compte. D’autant que la nouvelle Cellule est chargée de suivre les ex-combattants déjà désarmés et démobilisés jusqu’à leur réintégration effective.
Selon Bruno Koné, le porte-parole du gouvernement, l’Autorité de démobilisation, de désarmement et de réinsertion (ADDR), créée en 2012, "a achevé sa mission". L’ADDR "est parvenue à réinsérer 55.000 ex-combattants" sur 64.000, "soit un taux concluant de 85%", s’est félicité M. Koné.
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