Abidjan – D’après un article publié par l’Instut Curie sur son site curie.fr, le risque de récidive de cancer de la prostate double chez les fumeurs.
Evoquant les dégâts que le tabac peut causer sur les voies respiratoires, le système cardiovasculaire ou encore la vessie, l’Institut français révèle, vendredi, qu’une étude internationale montre qu’il joue un rôle dans le cancer de la prostate, le cancer le plus fréquent chez l’homme.
Après une chirurgie de la prostate, le taux de récidive à 28 mois est 80% plus élevé chez les fumeurs que chez les non-fumeurs. Il demeure 63% plus élevé chez les ex-fumeurs que chez ceux qui n’ont jamais fumé.
Ce risque diminue toutefois avec la durée d’arrêt du tabagisme. Au-delà de dix ans sans cigarettes, le risque de récidive redevient équivalent à celui des non-fumeurs. Telle est la principale conclusion de cette étude, menée auprès de plus de 6500 patients, dans plusieurs pays.
Ce facteur de risque vient s’ajouter à d’autres, déjà bien connus. En effet, selon l’étude, l’âge est le principal facteur car le risque de cancer de la prostate augmente continuellement, dès l’âge de 40 ans.
L’origine ethnique également. Les personnes d’origine africaine ou antillaise ont un risque plus élevé que la moyenne.
Il y a aussi les antécédents familiaux, puisque les hommes dont au moins deux membres de leur famille proche (père, frère, oncle) ont eu un cancer de la prostate voient leur risque d’en développer un augmenter.
L'Institut Curie est une fondation dont les activités principales sont d'une part la compréhension des mécanismes de la cancérogenèse, avec un centre de recherche en biophysique, biologie cellulaire et oncologie, et d'autre part le traitement des cancers avec un ensemble hospitalier.
« Ensemble, prenons le cancer de vitesse », telle est la devise de l'Institut Curie, installé sur différents sites français. L’Institut comprend d'une part, des centres de recherche établis dans le 5e arrondissement de Paris ainsi que sur le campus d'Orsay, et d’autre part, des centres hospitaliers répartis sur Paris, Saint-Cloud et Orsay. L'Institut Curie est aussi responsable du Centre de protonthérapie, référent dans le traitement de certaines tumeurs de l'œil et de la base du crâne, situé à Orsay.
cmas
Evoquant les dégâts que le tabac peut causer sur les voies respiratoires, le système cardiovasculaire ou encore la vessie, l’Institut français révèle, vendredi, qu’une étude internationale montre qu’il joue un rôle dans le cancer de la prostate, le cancer le plus fréquent chez l’homme.
Après une chirurgie de la prostate, le taux de récidive à 28 mois est 80% plus élevé chez les fumeurs que chez les non-fumeurs. Il demeure 63% plus élevé chez les ex-fumeurs que chez ceux qui n’ont jamais fumé.
Ce risque diminue toutefois avec la durée d’arrêt du tabagisme. Au-delà de dix ans sans cigarettes, le risque de récidive redevient équivalent à celui des non-fumeurs. Telle est la principale conclusion de cette étude, menée auprès de plus de 6500 patients, dans plusieurs pays.
Ce facteur de risque vient s’ajouter à d’autres, déjà bien connus. En effet, selon l’étude, l’âge est le principal facteur car le risque de cancer de la prostate augmente continuellement, dès l’âge de 40 ans.
L’origine ethnique également. Les personnes d’origine africaine ou antillaise ont un risque plus élevé que la moyenne.
Il y a aussi les antécédents familiaux, puisque les hommes dont au moins deux membres de leur famille proche (père, frère, oncle) ont eu un cancer de la prostate voient leur risque d’en développer un augmenter.
L'Institut Curie est une fondation dont les activités principales sont d'une part la compréhension des mécanismes de la cancérogenèse, avec un centre de recherche en biophysique, biologie cellulaire et oncologie, et d'autre part le traitement des cancers avec un ensemble hospitalier.
« Ensemble, prenons le cancer de vitesse », telle est la devise de l'Institut Curie, installé sur différents sites français. L’Institut comprend d'une part, des centres de recherche établis dans le 5e arrondissement de Paris ainsi que sur le campus d'Orsay, et d’autre part, des centres hospitaliers répartis sur Paris, Saint-Cloud et Orsay. L'Institut Curie est aussi responsable du Centre de protonthérapie, référent dans le traitement de certaines tumeurs de l'œil et de la base du crâne, situé à Orsay.
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