Abidjan - La commission électorale indépendante (CEI) a prorogé de 12 jours le délai de l'opération de révision de la liste électorale, en sa session spéciale, lundi à son siège, afin de permettre aux retardataires de s'inscrire sur les listes.
Cette décision devra être entérinée par un décret qui permettra la prorogation de l'opération jusqu'au 12 juillet, fait-on savoir, afin de permettre à un grand nombre de nouveaux majeurs de s'inscrire sur la liste électorale. De même toutes les personnes qui ont des difficultés d'acquision de la carte nationale d'identité (CNI) et du certificat de nationalité devront saisir cette opportunité pour en acquérir et participer à cette opération de révision de la liste électorale.
L'acquisition de la CNI et du certificat de nationalité a été relevée comme principal obstacle à la participation de nombreux électeurs à cette opération.
A cet effet le ministre de l'Interieur et de la sécurité, Hamed Bakayoko, a eu lundi une séance de travail avec le directeur général de l'office national d'identification (ONI), Benjamin Djobo Esso, au cours de laquelle ces difficultés ont été évoquées.
Reconnaissant que la première machine acquise pour la production des CNI a eu des pannes, Hamed Bakayoko a annoncé l'acquisition d'une deuxième machine "qui a une capacité de production de 5000 cartes/jour, soit 100.000 cartes/mois. Une troisième machine qui est en voie d'acquisition, sera disponible rapidement et va porter la production à 300.000cartes/mois".
"Je lance un appel à tous nos compatriotes qui se sont fait enrôler, à qui on envoie des sms, de bien vouloir venir retirer leurs cartes. Aujourd'hui, il ya plus de 100.000 cartes qui sont produites et disponibles (...). A cela, il faut ajouter la mise à disposition de plus de 600.000 cartes qui avaient été produites en 2009. Il faut que les populations viennent retirer leurs cartes afin d'avoir les documents requis pour leur enrôlement", a insisté le ministre de l'Intérieur.
Aussi a-t-il dit que les requérants peuvent se faire enrôler avec le certificat de nationalité. "Il ne faut pas que le fait que les cartes ne soient pas encore produites soient un frein à l'enrôlement électoral", a affirmé Hamed Bakayoko.
L'opération de révision de la liste électorale a démarré, le 1er juin pour s'achever ce 30 juin, rappelle-t-on. Des requérant dans nombre de localités du pays ont été confrontés au manque de CNI et de certificats de nationalité, deux documents exigés dans cette opération.
akn/ask
Cette décision devra être entérinée par un décret qui permettra la prorogation de l'opération jusqu'au 12 juillet, fait-on savoir, afin de permettre à un grand nombre de nouveaux majeurs de s'inscrire sur la liste électorale. De même toutes les personnes qui ont des difficultés d'acquision de la carte nationale d'identité (CNI) et du certificat de nationalité devront saisir cette opportunité pour en acquérir et participer à cette opération de révision de la liste électorale.
L'acquisition de la CNI et du certificat de nationalité a été relevée comme principal obstacle à la participation de nombreux électeurs à cette opération.
A cet effet le ministre de l'Interieur et de la sécurité, Hamed Bakayoko, a eu lundi une séance de travail avec le directeur général de l'office national d'identification (ONI), Benjamin Djobo Esso, au cours de laquelle ces difficultés ont été évoquées.
Reconnaissant que la première machine acquise pour la production des CNI a eu des pannes, Hamed Bakayoko a annoncé l'acquisition d'une deuxième machine "qui a une capacité de production de 5000 cartes/jour, soit 100.000 cartes/mois. Une troisième machine qui est en voie d'acquisition, sera disponible rapidement et va porter la production à 300.000cartes/mois".
"Je lance un appel à tous nos compatriotes qui se sont fait enrôler, à qui on envoie des sms, de bien vouloir venir retirer leurs cartes. Aujourd'hui, il ya plus de 100.000 cartes qui sont produites et disponibles (...). A cela, il faut ajouter la mise à disposition de plus de 600.000 cartes qui avaient été produites en 2009. Il faut que les populations viennent retirer leurs cartes afin d'avoir les documents requis pour leur enrôlement", a insisté le ministre de l'Intérieur.
Aussi a-t-il dit que les requérants peuvent se faire enrôler avec le certificat de nationalité. "Il ne faut pas que le fait que les cartes ne soient pas encore produites soient un frein à l'enrôlement électoral", a affirmé Hamed Bakayoko.
L'opération de révision de la liste électorale a démarré, le 1er juin pour s'achever ce 30 juin, rappelle-t-on. Des requérant dans nombre de localités du pays ont été confrontés au manque de CNI et de certificats de nationalité, deux documents exigés dans cette opération.
akn/ask