Abidjan - La directrice de la communication du groupe Toyota, Julie Hamp, arrêtée il y deux semaines au Japon, sur des soupçons d'importation illégale de médicaments a démissionné mardi.
Mme Hamp, qui avait été interpellée le 18 juin dans un hôtel de Tokyo où elle séjournait, se trouve en détention depuis cette date.
Il lui est reproché d’avoir importé au Japon, par voie postale, un colis enfermant des comprimés d'oxycodone, un puissant analgésique sans la permission des autorités. Cette infraction est passible d'une peine de 10 ans de prison.
Le paquet, saisi par les douaniers le 11 juin à l'aéroport de Tokyo-Narita, avait été expédié des Etats-Unis. Sur l'étiquette détaillant le contenu était écrit colliers, et les comprimés se trouvaient à l'intérieur de petites boîtes de bijoux factices pour enfants.
L'antidouleur incriminé est autorisé depuis 2003 au Japon, où il est classé comme narcotique. Il est délivré uniquement sur ordonnance médicale et pour des patients sujets à des maux intenses, notamment en cas de cancer.
(AIP)
akn/kam
Mme Hamp, qui avait été interpellée le 18 juin dans un hôtel de Tokyo où elle séjournait, se trouve en détention depuis cette date.
Il lui est reproché d’avoir importé au Japon, par voie postale, un colis enfermant des comprimés d'oxycodone, un puissant analgésique sans la permission des autorités. Cette infraction est passible d'une peine de 10 ans de prison.
Le paquet, saisi par les douaniers le 11 juin à l'aéroport de Tokyo-Narita, avait été expédié des Etats-Unis. Sur l'étiquette détaillant le contenu était écrit colliers, et les comprimés se trouvaient à l'intérieur de petites boîtes de bijoux factices pour enfants.
L'antidouleur incriminé est autorisé depuis 2003 au Japon, où il est classé comme narcotique. Il est délivré uniquement sur ordonnance médicale et pour des patients sujets à des maux intenses, notamment en cas de cancer.
(AIP)
akn/kam