Dabakala - La rareté des pluies dans la partie septentrionale de la Côte d'Ivoire entrave la récolte de l'arachide à Dabakala où cette culture est l'une des sources de revenus des populations locales.
"Arracher les tiges d'arachides du sol devient difficile, car les grains se coupent des tiges et restent enfoncés dans le sol", a expliqué M. Coulibaly Gbapiélé, cultivateur originaire de Tièkélédougou, un campement de la sous-préfecture de Boniéré, dans le département de Dabakala, relevant l'absence de pluie depuis début juin.
Le kilogramme d'arachide se négocie actuellement à 500 FCFA sur le marché à Dabakala, fait-on savoir.
L'orpaillage clandestin, avec l'utilisation de produits dangereux pour la santé de l'homme et de la nature, contribuerait à influencer négativement la pluviométrie dans ce département, selon des responsables de l'office ivoirien des parcs et réserves ainsi que des Eaux et forêts.
Sy/tad/akn/ask
"Arracher les tiges d'arachides du sol devient difficile, car les grains se coupent des tiges et restent enfoncés dans le sol", a expliqué M. Coulibaly Gbapiélé, cultivateur originaire de Tièkélédougou, un campement de la sous-préfecture de Boniéré, dans le département de Dabakala, relevant l'absence de pluie depuis début juin.
Le kilogramme d'arachide se négocie actuellement à 500 FCFA sur le marché à Dabakala, fait-on savoir.
L'orpaillage clandestin, avec l'utilisation de produits dangereux pour la santé de l'homme et de la nature, contribuerait à influencer négativement la pluviométrie dans ce département, selon des responsables de l'office ivoirien des parcs et réserves ainsi que des Eaux et forêts.
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