Bouaflé Les acteurs du maïs ont décidé de poursuivre le projet du Système d’information des marchés (SIM) de cette filière, à l’issue d’un atelier-bilan organisé samedi par l’Institut africain pour le développement économique et social (INADES–Formation).
Selon la directrice de l’INADES-Formation, Koné Kadidia, au regard des résultats et insuffisances enregistrés, toutes les structures ont décidé de poursuivre le projet SIM en fédérant les énergies pour aller de l’avant.
« Nous invitons tous les acteurs du maïs en fonction de leur tâche et de leur mission ainsi que de leur expertise à rejoindre le projet SIM afin de construire quelque chose de durable dans la Marahoué », a-t-elle souhaité.
Lors de cet atelier-bilan, les acteurs ont évoqué les faiblesses du projet SIM, notamment la faible mobilisation des producteurs, l’insuffisance des ressources pour la communication dans le cadre de la mobilisation des producteurs, les conflits internes des coopératives qui jouent sur la collecte des prix et l’absence de constance dans la collecte des prix sur la plupart des marchés identifiés.
Par contre, des forces ont été notées, à savoir l’accroissement de la force de négociation, la contribution à l’amélioration des revenus des producteurs et l’obtention de débouchés pour certaines coopératives grâce au projet SIM.
« Nous pouvons dire que le bilan est globalement positif malgré quelques faiblesses », a fait savoir Mme Koné, déplorant le fait que les producteurs demandent toujours de l’assistance.
« Ils n’ont pas encore bien compris que les animateurs relais et les collecteurs sont des agents endogènes que nous accompagnons pour renforcer leurs capacités et ainsi, ils pourront démultiplier la formation », a-t-elle expliqué.
Le projet SIM a été créé afin d’améliorer le revenu du producteur de maïs à travers l’accès à toutes les informations liées à cette culture et aux opportunités de commercialisation.
(AIP)
zaar/cmas
Selon la directrice de l’INADES-Formation, Koné Kadidia, au regard des résultats et insuffisances enregistrés, toutes les structures ont décidé de poursuivre le projet SIM en fédérant les énergies pour aller de l’avant.
« Nous invitons tous les acteurs du maïs en fonction de leur tâche et de leur mission ainsi que de leur expertise à rejoindre le projet SIM afin de construire quelque chose de durable dans la Marahoué », a-t-elle souhaité.
Lors de cet atelier-bilan, les acteurs ont évoqué les faiblesses du projet SIM, notamment la faible mobilisation des producteurs, l’insuffisance des ressources pour la communication dans le cadre de la mobilisation des producteurs, les conflits internes des coopératives qui jouent sur la collecte des prix et l’absence de constance dans la collecte des prix sur la plupart des marchés identifiés.
Par contre, des forces ont été notées, à savoir l’accroissement de la force de négociation, la contribution à l’amélioration des revenus des producteurs et l’obtention de débouchés pour certaines coopératives grâce au projet SIM.
« Nous pouvons dire que le bilan est globalement positif malgré quelques faiblesses », a fait savoir Mme Koné, déplorant le fait que les producteurs demandent toujours de l’assistance.
« Ils n’ont pas encore bien compris que les animateurs relais et les collecteurs sont des agents endogènes que nous accompagnons pour renforcer leurs capacités et ainsi, ils pourront démultiplier la formation », a-t-elle expliqué.
Le projet SIM a été créé afin d’améliorer le revenu du producteur de maïs à travers l’accès à toutes les informations liées à cette culture et aux opportunités de commercialisation.
(AIP)
zaar/cmas