Monsieur le Préfet du département de Grand Bassam,
Monsieur le Maire de la commune de Grand Bassam,
Monsieur le Représentant de Madame la Présidente de la Commission de l’Union Africaine,
Chers séminaristes,
La Commission Electorale Indépendante (CEI), par ma voix, vous exprime sa profonde gratitude pour avoir répondu de façon si nombreuse et qualitative à son invitation.
Monsieur le Préfet de Grand Bassam,
Monsieur le Maire de Grand Bassam,
Votre présence, une fois de plus à nos côtés, autant qu’elle nous réconforte, nous rassure, eu égard à la qualité de l’accueil qui nous a été réservée lors de notre arrivée dans votre ville.
Les mots de cordiale bienvenue empreinte de chaleur que vous venez de nous adresser tout à l’heure, nous sont allés droit au cœur. Nous voudrions vous en remercier bien sincèrement.
Monsieur le Représentant de Madame la Présidente de la Commission de l’Union Africaine,
Votre présence ce matin à nos côtés, avec la délégation qui vous accompagne, nous réconforte et constitue s’il en est encore besoin, un gage du soutien de l’Institution panafricaine à notre action.
Mesdames et messieurs les séminaristes, chers collègues,
Dès l’adoption des textes mettant en place la Commission Electorale Indépendante dans sa version actuelle, et conscient de ce qu’une formation initiale solide, constitue un gage de succès et surtout un préalable incontournable pour permettre à la nouvelle équipe de mener à bien sa mission, les organes dirigeants de la CEI ont sollicité l’appui de l’Union Africaine pour obtenir une formation « BRIDGE » au profit des membres et du personnel de l’Institution.
Cette formation échelonnée dans le temps comportait divers volets, à savoir, des ateliers modulaires et une formation dite des formateurs.
Après la tenue du premier volet courant novembre 2014, la Présidente de la Commission de l’Union Africaine vient d’autoriser la tenue du second volet qui se tient aujourd’hui ici à Grand Bassam.
Cette formation dite atelier de formation des formateurs contribuera, j’en suis sûr au renforcement des capacités de notre Institution, mais elle permettra aussi d’augmenter le nombre de facilitateurs semi-accrédités de notre Institution et de notre pays.
C’est donc le lieu pour moi d’adresser mes remerciements appuyés à Madame la Présidente de la Commission de l’Union Africaine ainsi qu’à l’équipe qui l’entoure pour l’attention soutenue qu’ils accordent à notre Institution et surtout pour leur appui décisif, lequel a permis la tenue du présent atelier.
Monsieur le Représentant de Madame la Présidente de l’Union Africaine,
La Commission Electorale Indépendante voudrait par ma voix, vous assurer de l’importance particulière qu’elle accorde à la formation et surtout du sérieux qu’elle met chaque fois à la conduire.
Elle ne se départira point de la pensée du sage qui soutient et je cite : « la formation reçue demeure notre atout, la persévérance dans l’effort et la tempérance nous aideront à faire le reste ».
Mesdames et Messieurs,
Depuis plusieurs mois, la Commission Electorale Indépendante est à pied d’œuvre.
Dès la mise en place de ses instances centrales, elle a élaboré et adopté le chronogramme de ses activités.
Des sous-commissions thématiques ont été constituées et celles-ci planchent assidument sur les différentes rubriques relevant de leurs attributions. Le Bureau de l’Institution et sa Commission Centrale sont au travail et tiennent des réunions périodiques. Leurs délibérations font l’objet d’application par les structures techniques du Secrétariat Général.
La CEI a achevé la mise en place de ses démembrements locaux, que sont les Commissions Electorales Régionales, Départementales, et Sous-préfectorales ainsi que celle des Représentations diplomaties à l’étranger.
Aussi, le Code Electoral, principal outil de travail de la CEI, qui avait connu divers ajustements en raison du contexte de crise qui caractérisait le cycle électoral passé, a été relu et révisé par notre Institution avant d’être adopté par l’Assemblée Nationale, toujours sur proposition de la CEI.
La cartographie électorale qui avait, elle aussi, besoin d’être revisitée a fait l’objet de toilettage.
Un plan de sécurisation a été élaboré et adopté, et celui-ci est en voie d’être mis en œuvre, avec les forces nationales de sécurité et l’ONUCI.
Le matériel électoral existant a été inventorié, le gap restant à acquérir, a été défini et les commandes passées sont en attente d’être livrées.
Aujourd’hui, notre Institution se trouve, depuis quelques jours dans une phase de prorogation jusqu’à la date du 12 juillet 2015, de l’opération d’enrôlement et de Révision de la Liste Electorale, laquelle avait commencé début juin 2015.
En appui à cette prorogation, la CEI a entamé une vaste campagne de communication tous azimuts.
Je voudrais joindre ma voix à l’écho de tous les autres, partis politiques et société civile, qui appellent nos compatriotes à venir se faire enrôler afin de pouvoir prendre part aux scrutins à venir.
En effet, la participation massive des ivoiriens à l’élection présidentielle d’octobre prochain, dans des conditions apaisées, sera le signe de la consolidation de la démocratie dans notre pays, et la preuve que la crise qui a marqué l’après scrutin de 2010 est résolument derrière nous
Notre pays est sur une rampe de lancement et la Commission Electorale Indépendante est déterminée à l’y accompagner dans le domaine qui est le sien, c’est-à-dire l’organisation d’élections transparentes, inclusives et crédibles répondant aux standards internationaux.
C’est pourquoi, une formation solide de ses membres est nécessaire, et celle que nous entamons aujourd’hui est donc la bienvenue.
C’est sur ces mots que je voudrais, tout en souhaitant à tous, des journées enrichissantes et studieuses, déclarer ouvert, le présent séminaire de formation BRIDGE.
Je vous remercie.
Youssouf BAKAYOKO
Président de la Commission Electorale Indépendante
Monsieur le Maire de la commune de Grand Bassam,
Monsieur le Représentant de Madame la Présidente de la Commission de l’Union Africaine,
Chers séminaristes,
La Commission Electorale Indépendante (CEI), par ma voix, vous exprime sa profonde gratitude pour avoir répondu de façon si nombreuse et qualitative à son invitation.
Monsieur le Préfet de Grand Bassam,
Monsieur le Maire de Grand Bassam,
Votre présence, une fois de plus à nos côtés, autant qu’elle nous réconforte, nous rassure, eu égard à la qualité de l’accueil qui nous a été réservée lors de notre arrivée dans votre ville.
Les mots de cordiale bienvenue empreinte de chaleur que vous venez de nous adresser tout à l’heure, nous sont allés droit au cœur. Nous voudrions vous en remercier bien sincèrement.
Monsieur le Représentant de Madame la Présidente de la Commission de l’Union Africaine,
Votre présence ce matin à nos côtés, avec la délégation qui vous accompagne, nous réconforte et constitue s’il en est encore besoin, un gage du soutien de l’Institution panafricaine à notre action.
Mesdames et messieurs les séminaristes, chers collègues,
Dès l’adoption des textes mettant en place la Commission Electorale Indépendante dans sa version actuelle, et conscient de ce qu’une formation initiale solide, constitue un gage de succès et surtout un préalable incontournable pour permettre à la nouvelle équipe de mener à bien sa mission, les organes dirigeants de la CEI ont sollicité l’appui de l’Union Africaine pour obtenir une formation « BRIDGE » au profit des membres et du personnel de l’Institution.
Cette formation échelonnée dans le temps comportait divers volets, à savoir, des ateliers modulaires et une formation dite des formateurs.
Après la tenue du premier volet courant novembre 2014, la Présidente de la Commission de l’Union Africaine vient d’autoriser la tenue du second volet qui se tient aujourd’hui ici à Grand Bassam.
Cette formation dite atelier de formation des formateurs contribuera, j’en suis sûr au renforcement des capacités de notre Institution, mais elle permettra aussi d’augmenter le nombre de facilitateurs semi-accrédités de notre Institution et de notre pays.
C’est donc le lieu pour moi d’adresser mes remerciements appuyés à Madame la Présidente de la Commission de l’Union Africaine ainsi qu’à l’équipe qui l’entoure pour l’attention soutenue qu’ils accordent à notre Institution et surtout pour leur appui décisif, lequel a permis la tenue du présent atelier.
Monsieur le Représentant de Madame la Présidente de l’Union Africaine,
La Commission Electorale Indépendante voudrait par ma voix, vous assurer de l’importance particulière qu’elle accorde à la formation et surtout du sérieux qu’elle met chaque fois à la conduire.
Elle ne se départira point de la pensée du sage qui soutient et je cite : « la formation reçue demeure notre atout, la persévérance dans l’effort et la tempérance nous aideront à faire le reste ».
Mesdames et Messieurs,
Depuis plusieurs mois, la Commission Electorale Indépendante est à pied d’œuvre.
Dès la mise en place de ses instances centrales, elle a élaboré et adopté le chronogramme de ses activités.
Des sous-commissions thématiques ont été constituées et celles-ci planchent assidument sur les différentes rubriques relevant de leurs attributions. Le Bureau de l’Institution et sa Commission Centrale sont au travail et tiennent des réunions périodiques. Leurs délibérations font l’objet d’application par les structures techniques du Secrétariat Général.
La CEI a achevé la mise en place de ses démembrements locaux, que sont les Commissions Electorales Régionales, Départementales, et Sous-préfectorales ainsi que celle des Représentations diplomaties à l’étranger.
Aussi, le Code Electoral, principal outil de travail de la CEI, qui avait connu divers ajustements en raison du contexte de crise qui caractérisait le cycle électoral passé, a été relu et révisé par notre Institution avant d’être adopté par l’Assemblée Nationale, toujours sur proposition de la CEI.
La cartographie électorale qui avait, elle aussi, besoin d’être revisitée a fait l’objet de toilettage.
Un plan de sécurisation a été élaboré et adopté, et celui-ci est en voie d’être mis en œuvre, avec les forces nationales de sécurité et l’ONUCI.
Le matériel électoral existant a été inventorié, le gap restant à acquérir, a été défini et les commandes passées sont en attente d’être livrées.
Aujourd’hui, notre Institution se trouve, depuis quelques jours dans une phase de prorogation jusqu’à la date du 12 juillet 2015, de l’opération d’enrôlement et de Révision de la Liste Electorale, laquelle avait commencé début juin 2015.
En appui à cette prorogation, la CEI a entamé une vaste campagne de communication tous azimuts.
Je voudrais joindre ma voix à l’écho de tous les autres, partis politiques et société civile, qui appellent nos compatriotes à venir se faire enrôler afin de pouvoir prendre part aux scrutins à venir.
En effet, la participation massive des ivoiriens à l’élection présidentielle d’octobre prochain, dans des conditions apaisées, sera le signe de la consolidation de la démocratie dans notre pays, et la preuve que la crise qui a marqué l’après scrutin de 2010 est résolument derrière nous
Notre pays est sur une rampe de lancement et la Commission Electorale Indépendante est déterminée à l’y accompagner dans le domaine qui est le sien, c’est-à-dire l’organisation d’élections transparentes, inclusives et crédibles répondant aux standards internationaux.
C’est pourquoi, une formation solide de ses membres est nécessaire, et celle que nous entamons aujourd’hui est donc la bienvenue.
C’est sur ces mots que je voudrais, tout en souhaitant à tous, des journées enrichissantes et studieuses, déclarer ouvert, le présent séminaire de formation BRIDGE.
Je vous remercie.
Youssouf BAKAYOKO
Président de la Commission Electorale Indépendante